La mutinerie a débuté très tôt ce lundi selon des témoins. La police et la gendarmerie sont rapidement arrivées sur les lieux, mais on ne sait pas si les mutins étaient armés. Des coups de feu ont été entendus à l'intérieur de la prison.
Le bilan provisoire est de deux morts et sept blessés. Les deux personnes décédées sont des détenus qui voulaient profiter du désordre créé pour s'échapper. Ils auraient été abattus par les gardiens. D'autres prisonniers auraient réussi à s'échapper.
La zone a été entièrement bouclée. Des policiers, armes au poing, se sont placés sur les toits de la prison pendant qu'un hélicoptère surveillait la zone. Les revendications des mutins ne sont pas encore connues. Quelques agents de ce principal établissement pénitentiaire du Gabon reconnaissent que les conditions de détention sont exécrables. Construite en 1956, la prison compte près de 1 500 détenus pour 300 places seulement.
Le bilan provisoire est de deux morts et sept blessés. Les deux personnes décédées sont des détenus qui voulaient profiter du désordre créé pour s'échapper. Ils auraient été abattus par les gardiens. D'autres prisonniers auraient réussi à s'échapper.
La zone a été entièrement bouclée. Des policiers, armes au poing, se sont placés sur les toits de la prison pendant qu'un hélicoptère surveillait la zone. Les revendications des mutins ne sont pas encore connues. Quelques agents de ce principal établissement pénitentiaire du Gabon reconnaissent que les conditions de détention sont exécrables. Construite en 1956, la prison compte près de 1 500 détenus pour 300 places seulement.