Le campus social de l’Ucad a été le théâtre de violents affrontements entre les nouveaux bacheliers et les forces de l’ordre, suite au retard accusé pour le paiement de leur bourses et aides.
Les manifestations ont débuté dans la soirée du mardi 27 avril, informe une source estudiantine et se sont poursuivies jusque tard dans la soirée.
Le lendemain, c’est-à-dire hier mercredi, les étudiants ont envahi les restaurants vers 6 heures du matin et ont bloqué le fonctionnement du service, empêchant ainsi à certains de prendre le petit déjeuner.
Les étudiants ont tenté par suite de barricader l’avenue Cheikh Anta Diop mais c’était sans compter avec la présence des éléments du Groupement Mobile d’Intervention (Gmi).
A cet instant les étudiants ont braqué trois bus Dakar Dém Dik (DDD). Les affrontements se sont poursuivis hier jusqu’à 14 heures. Les manifestants qui sont majoritairement en première année dans les différentes facultés réclament les paiements des aides qui s’élèvent à 60.000 F Cfa par étudiant pour toute l’année.
Ils n’ont, disent-ils, reçu aucun sou depuis le mois d’octobre. Ils menacent par conséquent de paralyser tout le système jusqu’à ce qu’ils soient rétablis dans leur droit. Ils estiment que le gouvernement se trompe de priorité et ne fait aucun effort pour leur assurer de meilleures conditions d’études.
Les affrontements entre Les forces de l’ordre et les manifestants marqués par des échanges de coups de gaz lacrymogène et de pierres, ont fini par installer une insécurité au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop.
C’est l’avis d’un contrôleur de tickets au restaurant argentin du nom de Habib Sy Diagne. Ce dernier de soutenir que les étudiants ont saccagé, pillé les restaurants “Argentin“ et “Self“. Selon M. Diagne, le manque à gagner causé par cette situation est estimé à 5 millions sans compter les autres dégâts matériels, ce qui pose un réel problème de sécurité avant de déplorer l’attitude peu orthodoxe des étudiants.
Même son de cloche du coté de la régie des bourses où les payeurs dégagent toute leur responsabilité par rapport à ces troubles et rejettent la balle dans le camp du Trésor Public.
D. S un des leurs soutient que : « le problème ne se situe pas à notre niveau. Les états financiers pour le paiement des allocations des nouveaux bacheliers ne sont pas encore sortis ». D S d’ajouter : « On n’a pas pu payer aujourd’hui à cause de l’insécurité ».
Le jeune payeur a aussi déploré leurs conditions précaires de travail et l’inadéquation de leur cadre de travail face l’insécurité qui sévit au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop Dakar.
Les manifestations ont débuté dans la soirée du mardi 27 avril, informe une source estudiantine et se sont poursuivies jusque tard dans la soirée.
Le lendemain, c’est-à-dire hier mercredi, les étudiants ont envahi les restaurants vers 6 heures du matin et ont bloqué le fonctionnement du service, empêchant ainsi à certains de prendre le petit déjeuner.
Les étudiants ont tenté par suite de barricader l’avenue Cheikh Anta Diop mais c’était sans compter avec la présence des éléments du Groupement Mobile d’Intervention (Gmi).
A cet instant les étudiants ont braqué trois bus Dakar Dém Dik (DDD). Les affrontements se sont poursuivis hier jusqu’à 14 heures. Les manifestants qui sont majoritairement en première année dans les différentes facultés réclament les paiements des aides qui s’élèvent à 60.000 F Cfa par étudiant pour toute l’année.
Ils n’ont, disent-ils, reçu aucun sou depuis le mois d’octobre. Ils menacent par conséquent de paralyser tout le système jusqu’à ce qu’ils soient rétablis dans leur droit. Ils estiment que le gouvernement se trompe de priorité et ne fait aucun effort pour leur assurer de meilleures conditions d’études.
Les affrontements entre Les forces de l’ordre et les manifestants marqués par des échanges de coups de gaz lacrymogène et de pierres, ont fini par installer une insécurité au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop.
C’est l’avis d’un contrôleur de tickets au restaurant argentin du nom de Habib Sy Diagne. Ce dernier de soutenir que les étudiants ont saccagé, pillé les restaurants “Argentin“ et “Self“. Selon M. Diagne, le manque à gagner causé par cette situation est estimé à 5 millions sans compter les autres dégâts matériels, ce qui pose un réel problème de sécurité avant de déplorer l’attitude peu orthodoxe des étudiants.
Même son de cloche du coté de la régie des bourses où les payeurs dégagent toute leur responsabilité par rapport à ces troubles et rejettent la balle dans le camp du Trésor Public.
D. S un des leurs soutient que : « le problème ne se situe pas à notre niveau. Les états financiers pour le paiement des allocations des nouveaux bacheliers ne sont pas encore sortis ». D S d’ajouter : « On n’a pas pu payer aujourd’hui à cause de l’insécurité ».
Le jeune payeur a aussi déploré leurs conditions précaires de travail et l’inadéquation de leur cadre de travail face l’insécurité qui sévit au niveau de l’Université Cheikh Anta Diop Dakar.