Mais si le nom de Viviane revient encore au devant de la scène, avec la sortie de « Waaw » son tout dernier album, c’est que la chanteuse commence à s installer de plus en plus confortablement dans une certaine facilité qu’on retrouve dans toutes ses productions. Une facilité dont elle devrait se méfier si elle veut vraiment assurer son standing de diva et de plus célèbre chanteuse du Sénégal.
Il n’est de secret pour personne que la plus grande difficulté que rencontre Viviane sur le plan artistique, est de créer des chansons qui lui soient propres. Sait- elle le faire d’ailleurs ? En tout cas, au moins 80 de ses albums sont des reprises et des adaptations d’œuvres internationales, aidée dans le travail par son mari Bouba, expert dans l’art du camouflage musical, surtout américain.
Ce qui n’est point un reproche. Loin de là du reste. Peut être une option pour quelqu un qui n’a pas toujours l inspiration, puisque Vivi réussit de très jolies chansons sénégalisées avec le procédé. Et elle n’est pas la seule car beaucoup d’artistes travaillent de la sorte et se font des milliers de fans qui se retrouvent dedans.
Mais pour la confection de Waaw, Vivi qui a encore fait appel à son imagination adaptatrice, semble s’être fourvoyée pour la réalisation du clip, en nous imposant Salam Diallo pour assurer la chorégraphie. Il est passé à côté, Salam.On n’a pas vu le danseur consacré (même s’il est controversé) qui pouvait apporter un plus, voire de l’originalité, avec ses facéties et ses manières efféminéesdans le travail de Viviane. Mais simplement un artiste invité par ce qu un de ses airs est à la mode,et que sa danse « Goana aurait même fait des inconditionnels parmi les peu difficiles.
Et comme il est de bon ton de s acoquiner avec tout cequi est « in », la chanteuse a sacrifié à la tradion, à son tour. Mais résultat ? Le danseur androgyne ( il est permis de refuser de l appeler chorégraphe), n’a rien apporté de neuf ou d’utile à la nouvelle cassette de Vivi ,se contentant de remuer gauchement un corps fatigué, sans expression, et de mimer des pas de danse déjà éculés qui ont déjà servi à faire sa propre promotion.
Vivi n’avait pas besoin de ca pour vendre, et c’est dommage qu elle ne l’ait pas compris. Elle doit savoir que tous ceux qui la poussent à sortir régulièrement des productions, ne sont pas de son coté, par ce qu’elle n’en a pas les moyens artistiques, malgré l aide de son époux.
Alors que traditionnellement elle mettait des années à mettre, ne serait ce qu’un simple single sur le marché, la voila en moins de deux ans qu’elle nous balance deux nouveaux airs remaniés comme « Champion, et actuellement « Waw » qui s’inscrit dans l’album de moindre facture qui a nom « Wou yayoye »’Etait ce vraiment le moment d’en rajouter quand on sait que les adaptations, même les plus élaborées, ne pourront jamais rivaliser avec l’inspiration et la création ?
Cébé rewmi.com
Il n’est de secret pour personne que la plus grande difficulté que rencontre Viviane sur le plan artistique, est de créer des chansons qui lui soient propres. Sait- elle le faire d’ailleurs ? En tout cas, au moins 80 de ses albums sont des reprises et des adaptations d’œuvres internationales, aidée dans le travail par son mari Bouba, expert dans l’art du camouflage musical, surtout américain.
Ce qui n’est point un reproche. Loin de là du reste. Peut être une option pour quelqu un qui n’a pas toujours l inspiration, puisque Vivi réussit de très jolies chansons sénégalisées avec le procédé. Et elle n’est pas la seule car beaucoup d’artistes travaillent de la sorte et se font des milliers de fans qui se retrouvent dedans.
Mais pour la confection de Waaw, Vivi qui a encore fait appel à son imagination adaptatrice, semble s’être fourvoyée pour la réalisation du clip, en nous imposant Salam Diallo pour assurer la chorégraphie. Il est passé à côté, Salam.On n’a pas vu le danseur consacré (même s’il est controversé) qui pouvait apporter un plus, voire de l’originalité, avec ses facéties et ses manières efféminéesdans le travail de Viviane. Mais simplement un artiste invité par ce qu un de ses airs est à la mode,et que sa danse « Goana aurait même fait des inconditionnels parmi les peu difficiles.
Et comme il est de bon ton de s acoquiner avec tout cequi est « in », la chanteuse a sacrifié à la tradion, à son tour. Mais résultat ? Le danseur androgyne ( il est permis de refuser de l appeler chorégraphe), n’a rien apporté de neuf ou d’utile à la nouvelle cassette de Vivi ,se contentant de remuer gauchement un corps fatigué, sans expression, et de mimer des pas de danse déjà éculés qui ont déjà servi à faire sa propre promotion.
Vivi n’avait pas besoin de ca pour vendre, et c’est dommage qu elle ne l’ait pas compris. Elle doit savoir que tous ceux qui la poussent à sortir régulièrement des productions, ne sont pas de son coté, par ce qu’elle n’en a pas les moyens artistiques, malgré l aide de son époux.
Alors que traditionnellement elle mettait des années à mettre, ne serait ce qu’un simple single sur le marché, la voila en moins de deux ans qu’elle nous balance deux nouveaux airs remaniés comme « Champion, et actuellement « Waw » qui s’inscrit dans l’album de moindre facture qui a nom « Wou yayoye »’Etait ce vraiment le moment d’en rajouter quand on sait que les adaptations, même les plus élaborées, ne pourront jamais rivaliser avec l’inspiration et la création ?
Cébé rewmi.com