Dans un portrait publié ce mardi dans le quotidien Libération, Nabilla livre encore quelques phrases dont elle seule a le secret.
Et une fois de plus, la bimbo révélée par « Les Anges de la Téléréalité » n’a pas déçu en livrant quelques perles.
Sur sa famille par exemple : « Avec un papa musulman, une maman chrétienne et une grand-mère juive, c’était compliqué. D’autant que les trois sont à fond dans leur truc. » Au sujet de son père, elle explique « Si j’étais restée avec mon père, je ne sais pas où je serais aujourd’hui. En train de faire un tajine ou carrément mariée ? »
Epiée par les paparazzis, la starlette a du se défendre de ses caprices de star et de ses prétendus écarts de conduite à l’égard d’un guichetier de la SNCF : « C’est toujours mieux d’avoir une personnalité que d’être platonique », justifie-t-elle avant d’ironiser, il faut le préciser, sur l’absence totale de sens de sa phrase.
Dans la même veine, la starlette a avoué son rêve de jouer au cinéma au motif qu’elle s’y intéresse de plus en plus. Littéralement, voilà ce que cela donne : « Avant, je kiffais les rappeurs mais avec l’évolution, je préfère les acteurs. »
Dans ce portrait, Nabilla dont la notoriété a dépassé le cadre de NRJ 12 depuis trois mois seulement, regretterait presque son exposition médiatique : « Parfois, j’aimerais être tranquille, faire ce que je veux, courir à poil dans la rue, sans que les gens disent : ‘Regarde, c’est Nabilla, j’te jure, c’est elle !’ »
La jeune femme sait d’ailleurs que son physique ne laisse pas insensible jusqu’aux hommes politiques. Comme Jean-Marie Le Pen : « Eh, t’as vu que Jean-Marie Le Pen a dit que j’avais trop des beaux seins. Franchement, il est trop marrant ce mec ».
Définitivement, Nabilla a le chic pour trousser des phrases improbables.
Et une fois de plus, la bimbo révélée par « Les Anges de la Téléréalité » n’a pas déçu en livrant quelques perles.
Sur sa famille par exemple : « Avec un papa musulman, une maman chrétienne et une grand-mère juive, c’était compliqué. D’autant que les trois sont à fond dans leur truc. » Au sujet de son père, elle explique « Si j’étais restée avec mon père, je ne sais pas où je serais aujourd’hui. En train de faire un tajine ou carrément mariée ? »
Epiée par les paparazzis, la starlette a du se défendre de ses caprices de star et de ses prétendus écarts de conduite à l’égard d’un guichetier de la SNCF : « C’est toujours mieux d’avoir une personnalité que d’être platonique », justifie-t-elle avant d’ironiser, il faut le préciser, sur l’absence totale de sens de sa phrase.
Dans la même veine, la starlette a avoué son rêve de jouer au cinéma au motif qu’elle s’y intéresse de plus en plus. Littéralement, voilà ce que cela donne : « Avant, je kiffais les rappeurs mais avec l’évolution, je préfère les acteurs. »
Dans ce portrait, Nabilla dont la notoriété a dépassé le cadre de NRJ 12 depuis trois mois seulement, regretterait presque son exposition médiatique : « Parfois, j’aimerais être tranquille, faire ce que je veux, courir à poil dans la rue, sans que les gens disent : ‘Regarde, c’est Nabilla, j’te jure, c’est elle !’ »
La jeune femme sait d’ailleurs que son physique ne laisse pas insensible jusqu’aux hommes politiques. Comme Jean-Marie Le Pen : « Eh, t’as vu que Jean-Marie Le Pen a dit que j’avais trop des beaux seins. Franchement, il est trop marrant ce mec ».
Définitivement, Nabilla a le chic pour trousser des phrases improbables.
Accueil
Envoyer à un ami
Partager
