Ne dites surtout pas à Nabilla qu’elle ne fait rien de sa vie : elle n’est pas, mais alors PAS DU TOUT d’accord. Lors de son entretien avec Frédéric Beigbeder pour le magazine Lui (numéro à paraître ce jeudi 30 avril), l’écrivain lui a fait remarquer qu’elle ne faisait rien à part « des selfies sur Instagram ». « Mais j’ai travaillé, quand même ! », lui a-t-elle répondu. Effectivement, si en apparence, la bimbo est surtout connue parce… qu’elle est connue, elle a réalisé deux-trois choses dans sa toute jeune carrière : « Avant d’être chroniqueuse, j’ai eu ma propre émission à 18 ans, j’ai fait trois émissions de téléréalité, a-t-elle rappelé. J’ai passé des castings, j’ai fait des parutions, des défilés. J’ai quand même fait des choses ! Des interviews et des plateaux télé, j’en ai fait des milliards. » C’est pas mal, mais ce n’est pas tout : avant la fameuse affaire du coup de couteau, Nabilla avait fait ses premiers pas dans la mode.
C’était en septembre dernier : Nabilla, très émue parce que « trop de sentiments », lançait sa première collection de vêtements chez Blooshop. Outre la joie de faire ses preuves dans un autre univers que la téléréalité, la jeune femme a gagné autre chose dans ce deal : beaucoup d’argent. Comme elle l’a confié à Lui, c’est cette ligne de textile qui lui permet de gagner sa vie, encore plus que ses apparitions dans les médias – dont certaines se monnayent très cher – et son ancien salaire chez Cyril Hanouna dans Touche pas à mon poste. « J’ai créé ma marque de vêtements qui me rapporte plus de 100 000 euros par mois », a-t-elle assuré. Mais sachant qu’elle n’est pas la principale actionnaire de Blooshop mais une simple guest star venue jouer les égéries et les stylistes, on a comme un doute sur le montant annoncé par Nabilla.
Voici.fr
C’était en septembre dernier : Nabilla, très émue parce que « trop de sentiments », lançait sa première collection de vêtements chez Blooshop. Outre la joie de faire ses preuves dans un autre univers que la téléréalité, la jeune femme a gagné autre chose dans ce deal : beaucoup d’argent. Comme elle l’a confié à Lui, c’est cette ligne de textile qui lui permet de gagner sa vie, encore plus que ses apparitions dans les médias – dont certaines se monnayent très cher – et son ancien salaire chez Cyril Hanouna dans Touche pas à mon poste. « J’ai créé ma marque de vêtements qui me rapporte plus de 100 000 euros par mois », a-t-elle assuré. Mais sachant qu’elle n’est pas la principale actionnaire de Blooshop mais une simple guest star venue jouer les égéries et les stylistes, on a comme un doute sur le montant annoncé par Nabilla.
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