Ndella Diouf est une femme qui se soucie peu du "qu'en dira-t-on?". Danseuse de sabar dans l’âme pour avoir grandi entre Centenaire et Médina, la candidate malheureuse aux législatives dit adorer le mbalax pur et dur. Ancienne âme vaillante de Saint-Joseph de Clunny et du Lycée Kénnédy, Ndella rappelle la beauté de la femme africaine chantée par Senghor. Mais elle n'est malheureusement pas "Jongué", puis quelle a eu à le reconnaître. Et son explication est simple:"Awma temps-bi" A la question de savoir comment elle fait pour retenir son mari en tant que femme,elle lance:"Je pense qu'il est là parce qu'il veut être là" , et d'enfoncer le clou dans un éclat de rire:" Je n'ai pas peur qu'il parte, je crois que les hommes, so len amal njerign rek dégnuy toog", a-t-elle fait savoir dans Le Populaire.