"Il m'a maintenue de force et je ne pouvais pas le repousser. J'ai tenté en vain de m'échapper. Il m'a pénétrée et j'ai crié", raconte la fille, qui ajoute que Cheikh Yérim Seck ne l'a pas battue, ni violentée.
"Moi si je voulais coucher avec Yérim, j'allais mettre une jupe. Il n'aurait qu'à le soulever pour me pénétrer. J'ai crié deux fois quand j'ai senti qu'il me pénétrait. Et quand il m'a déflorée, je ne pouvais pas crier au début parce qu'il m'avait retenue au lit de force avec ses deux mains posées sur ma poitrine. Je ne l'ai pas griffé avec mes ongles parce que je ne suis pas violente. Je ne me suis jamais bagarrée durant toute ma vie. Mes parents me connaissent, ils peuvent en témoigner. Je me suis rendue à l'auberge sur invitation de M. Seck. Au début j'étais réticente parce que je ne voulais pas être vue par un membre de ma famille entrer dans une auberge. Mais Yérim a fini par me convaincre", raconte la fille du magistrat.
La partie civile ajoute qu'elle n'a pas quitté la salle quand Yérim s'est dévêtu et enlevé son pantalon et son slip. Parce qu'elle croyait avoir affaire à un intellectuel, un homme responsable. "J'ai dit à Yérim que j'étais vierge et que je tenais à le rester jusqu'au mariage. Mais quand j'enfilais mon pantalon, il m'a surprise par derrière pour me balancer dans le lit et me violer", accuse la plaignante.
"Moi si je voulais coucher avec Yérim, j'allais mettre une jupe. Il n'aurait qu'à le soulever pour me pénétrer. J'ai crié deux fois quand j'ai senti qu'il me pénétrait. Et quand il m'a déflorée, je ne pouvais pas crier au début parce qu'il m'avait retenue au lit de force avec ses deux mains posées sur ma poitrine. Je ne l'ai pas griffé avec mes ongles parce que je ne suis pas violente. Je ne me suis jamais bagarrée durant toute ma vie. Mes parents me connaissent, ils peuvent en témoigner. Je me suis rendue à l'auberge sur invitation de M. Seck. Au début j'étais réticente parce que je ne voulais pas être vue par un membre de ma famille entrer dans une auberge. Mais Yérim a fini par me convaincre", raconte la fille du magistrat.
La partie civile ajoute qu'elle n'a pas quitté la salle quand Yérim s'est dévêtu et enlevé son pantalon et son slip. Parce qu'elle croyait avoir affaire à un intellectuel, un homme responsable. "J'ai dit à Yérim que j'étais vierge et que je tenais à le rester jusqu'au mariage. Mais quand j'enfilais mon pantalon, il m'a surprise par derrière pour me balancer dans le lit et me violer", accuse la plaignante.