Au Nigeria, 31 militaires ont été tués dimanche 25 avril, annoncent les autorités. Les responsables de l'attaque seraient les jihadistes du groupe État islamique en Afrique de l'Ouest. Les soldats nigérians seraient tombés dans une embuscade.
Selon le récit de l'armée nigériane, le convoi militaire été attendu par une vingtaine de véhicule alors qu'il se dirigeait vers Maiduguri, la capitale du Borno, au nord-est du pays.
Les soldats nigérians transportaient des armes qu'ils devaient livrer dans la zone. Vers midi, ils ont été surpris par un déluge de feu selon un témoignage et n'ont pu résister aux nombreux combattants jihadistes. D'autres témoins font état de « pertes colossales », dans des circonstances « horribles ». Le bilan de 31 militaires tués est donc encore provisoire.
Des véhicules et des armes capturés par les combattants jihadistes
Les insurgés ont réussi à mettre la main sur de nombreuses armes et deux véhicules blindés. Ils s'en seraient ensuite servi pour attaquer et bruler une base militaire située non loin de là.
Dans cette zone du nord-est du Nigeria, l'armée est régulièrement la cible d'attaque jihadiste, visée soit par l'État islamique en Afrique de l'Ouest, en anglais Iswap (Islamic State in West Africa Province), créé en 2016, soit par Boko Haram installé dans la région depuis 2009.
Depuis le début du conflit qui a fait plus de deux millions de déplacés parmi la population civile, au moins 36 000 personnes ont été tuées.
Selon le récit de l'armée nigériane, le convoi militaire été attendu par une vingtaine de véhicule alors qu'il se dirigeait vers Maiduguri, la capitale du Borno, au nord-est du pays.
Les soldats nigérians transportaient des armes qu'ils devaient livrer dans la zone. Vers midi, ils ont été surpris par un déluge de feu selon un témoignage et n'ont pu résister aux nombreux combattants jihadistes. D'autres témoins font état de « pertes colossales », dans des circonstances « horribles ». Le bilan de 31 militaires tués est donc encore provisoire.
Des véhicules et des armes capturés par les combattants jihadistes
Les insurgés ont réussi à mettre la main sur de nombreuses armes et deux véhicules blindés. Ils s'en seraient ensuite servi pour attaquer et bruler une base militaire située non loin de là.
Dans cette zone du nord-est du Nigeria, l'armée est régulièrement la cible d'attaque jihadiste, visée soit par l'État islamique en Afrique de l'Ouest, en anglais Iswap (Islamic State in West Africa Province), créé en 2016, soit par Boko Haram installé dans la région depuis 2009.
Depuis le début du conflit qui a fait plus de deux millions de déplacés parmi la population civile, au moins 36 000 personnes ont été tuées.