L’état-major de l’armée tchadienne a annoncé avoir lancé des frappes aériennes, ce mercredi 17 juin 2015, au Nigeria qui visaient des combattants de Boko Haram. Il a indiqué agir en représailles au double attentat de lundi à N’Djamena attribué par le gouvernement à la secte islamiste, dans un communiqué.
Le texte précise que les attaques aériennes interviennent en « réaction aux actes lâches et barbares » de la secte Boko Haram. Près de six bases du groupe armé auraient été détruites tandis que de lourds dégâts humains et matériels ont été causés par les frappes aériennes dans le camp rebelle, rapporte Le Figaro.
Intensification de la lutte
L’armée a précisé que la lutte du Tchad contre l’organisation djihadiste allait s’intensifier. Elle a menacé qu’aucune goûte de sang tchadien versée ne restera impunie, peut-on lire dans le texte.
Lundi dernier, un double attentat à frappé la capitale tchadienne aux alentours du commissariat et devant l’école de police. Près de 23 personnes ont été tuées dans l’attaque, dont près de 16 policiers, et 101 blessés sont à déplorer.
Alors qu’une enquête a été ouverte par le procureur de la République, le gouvernement tchadien et le Président français, François Hollande, ont tout de suite accusé l’organisation Boko Haram.
afrik.com
Le texte précise que les attaques aériennes interviennent en « réaction aux actes lâches et barbares » de la secte Boko Haram. Près de six bases du groupe armé auraient été détruites tandis que de lourds dégâts humains et matériels ont été causés par les frappes aériennes dans le camp rebelle, rapporte Le Figaro.
Intensification de la lutte
L’armée a précisé que la lutte du Tchad contre l’organisation djihadiste allait s’intensifier. Elle a menacé qu’aucune goûte de sang tchadien versée ne restera impunie, peut-on lire dans le texte.
Lundi dernier, un double attentat à frappé la capitale tchadienne aux alentours du commissariat et devant l’école de police. Près de 23 personnes ont été tuées dans l’attaque, dont près de 16 policiers, et 101 blessés sont à déplorer.
Alors qu’une enquête a été ouverte par le procureur de la République, le gouvernement tchadien et le Président français, François Hollande, ont tout de suite accusé l’organisation Boko Haram.
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