Intervenant en marge de la cérémonie annuelle de décompte des oiseaux de ce parc, le colonel Sidibé a insisté sur le fait que l’absence totale de touristes, cette année, était la manifestation concrète des conséquences néfastes de la crise sanitaire sur le parc de Djoudj.
En termes de présence de touristes, il est évident aujourd’hui que Djoudj, qui était important avec des entrées tournant autour de dix-mille, subit les conséquences de la pandémie, a laissé entendre le directeur des Aires marines protégées.
Le colonel Sidibé a rappelé que le dénombrement des oiseaux attendu à la fin de cette journée allait permettre de renseigner sur la vitalité du Parc de Djoudj, en donnant notamment une indication sur la présence ou l’absence d’un tel ou tel autre oiseau.
Cette année, le Marabout a été choisi comme oiseau parrain, a-t-il fait savoir non sans souligner cette espèce protégée présent au parc national de Niokolokoba (Tambacounda) n’était plus visible à Djoudj et au Delta du Saloum (centre), suscitant des interrogations. Il a par ailleurs salué l’implication de partenaires luxembourgeois et d’institutions internationales dans l’érection d’une digue de protection au sein de parc de Djoudj.
Sud Quotidien
En termes de présence de touristes, il est évident aujourd’hui que Djoudj, qui était important avec des entrées tournant autour de dix-mille, subit les conséquences de la pandémie, a laissé entendre le directeur des Aires marines protégées.
Le colonel Sidibé a rappelé que le dénombrement des oiseaux attendu à la fin de cette journée allait permettre de renseigner sur la vitalité du Parc de Djoudj, en donnant notamment une indication sur la présence ou l’absence d’un tel ou tel autre oiseau.
Cette année, le Marabout a été choisi comme oiseau parrain, a-t-il fait savoir non sans souligner cette espèce protégée présent au parc national de Niokolokoba (Tambacounda) n’était plus visible à Djoudj et au Delta du Saloum (centre), suscitant des interrogations. Il a par ailleurs salué l’implication de partenaires luxembourgeois et d’institutions internationales dans l’érection d’une digue de protection au sein de parc de Djoudj.
Sud Quotidien