Selon le journal, à côté des grincements de dents d’une bonne frange de l’opinion qui ne comprend pas qu’on puisse propulser à ce niveau de responsabilité quelqu’un qui a accompagné l’ancien régime dans beaucoup de micmacs et qui a été très atteinte par la chute de Wade, les alliés non plus ne comprennent pas trop cette nomination qui selon eux rompt d’avec la dynamique engagée avec la suppression du Sénat. A l’Apr, c’est la surprise générale. Certains s’interrogent. Comment cela a-t-il pu se faire, moins de six mois après la chute d’Abdoulaye Wade ? On parle d’un lobbing d’enfer qui a été mené et qui a abouti à ce résultat.
Serigne Seck
Serigne Seck