Dans une déclaration ferme, Mamadou Ibra Kane, président du CDEPS, rappelle que :
La nomination aux postes civils, y compris ceux des membres du CNRA, relève exclusivement de la compétence du président de la République par décret et non sur proposition du ministre de la Communication.
Les membres du CNRA, disposant d’un mandat de six ans non renouvelable et non révocable, ne peuvent être remplacés avant la fin de leur mandat.
Le CNRA, en tant qu’autorité indépendante, se doit d’être strictement apolitique. Aucun de ses membres ne peut afficher une affiliation à un parti politique, conformément à l’esprit républicain.
Par ailleurs, le CDEPS interpelle les autorités sur la nécessité urgente de mettre en place la Haute Autorité de Régulation de la Communication Audiovisuelle (HARCA), prévue par le Code de la presse, mais toujours pas opérationnelle. "Le respect des lois en vigueur est un impératif, faute de quoi, les slogans de transparence resteront vides de sens", martèle le CDEPS.
Ce nouvel épisode s’ajoute à une série de maladresses attribuées au ministère de la Communication sous l’actuel régime, aggravant les tensions dans un secteur déjà sous pression.
La nomination aux postes civils, y compris ceux des membres du CNRA, relève exclusivement de la compétence du président de la République par décret et non sur proposition du ministre de la Communication.
Les membres du CNRA, disposant d’un mandat de six ans non renouvelable et non révocable, ne peuvent être remplacés avant la fin de leur mandat.
Le CNRA, en tant qu’autorité indépendante, se doit d’être strictement apolitique. Aucun de ses membres ne peut afficher une affiliation à un parti politique, conformément à l’esprit républicain.
Par ailleurs, le CDEPS interpelle les autorités sur la nécessité urgente de mettre en place la Haute Autorité de Régulation de la Communication Audiovisuelle (HARCA), prévue par le Code de la presse, mais toujours pas opérationnelle. "Le respect des lois en vigueur est un impératif, faute de quoi, les slogans de transparence resteront vides de sens", martèle le CDEPS.
Ce nouvel épisode s’ajoute à une série de maladresses attribuées au ministère de la Communication sous l’actuel régime, aggravant les tensions dans un secteur déjà sous pression.