On en sait davantage sur le nouveau visage que le président de la République a donné aux fonctions d’Envoyé spécial. Et, « Source A » a appris que Macky Sall a collé plein d’attributs au successeur d’Aïssata Tall Sall, devenue ministre des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’Extérieur.
En effet, même si beaucoup l’ignorent, l’ancien ministre chargé du Plan Sénégal Emergent(PSE), Cheikh Kanté, qui a été bombardé Envoyé spécial du chef de l’Etat, à la faveur du dernier remaniement ministériel, a rang de ministre d’Etat. A ce statut de prestige, vient se greffer le fait que, selon les indiscrétions parvenues au canard, l’ancien directeur général du Port autonome de Dakar va disposer de ses bureaux au sein de la Présidence de la République. Avec un rang de ministre d’Etat, Cheikh Kanté conserve la composition de son Cabinet, crèchera au sein de la Présidence de la République et a des attributions transversales. Autre chose méconnue de l’opinion, jusqu’ici : Cheikh Kanté conservera l’intégralité de la composition du Cabinet, dont il disposait quand il tenait les manettes du Ministère en charge du Suivi du PSE. Macky Sall, ne s’en est pas arrêté là. La raison ? Son homme de confiance aura des fonctions transversales, à l’intérieur comme à l’extérieur du Sénégal. En d’autres termes, Cheikh Kanté aura un mot à dire sur les Projets, les grandes réformes, entre autres gros dossiers.
Quid des Institutions internationales et des Conférences internationales ? Il sera l’œil et l’oreille du chef de l’Etat, quand l’envie de lui confier des tâches, en démangera Macky Sall. Pour avoir toujours cultivé le consensus social, le nouvel Envoyé spécial ne devrait pas être en terrain inconnu. Mais en grattant le vernis qui recouvre toutes ces prérogatives collées à Cheikh Kanté, on finit par y débusquer une dure réalité: l’actuel Envoyé spécial est, certes, un inconditionnel de Macky Sall, mais aussi du Port autonome de Dakar à son défunt Ministère en charge du Suivi du PSE, il avait toujours cultivé le consensus social. D’ailleurs, il a très souvent pris son bâton de pèlerin, pour éteindre des foyers de tensions. Notamment au sein de l’Alliance pour la République (Apr), lorsque celle-ci est parfois déchirée par des conflits de toutes sortes. Que ce soit au Sénégal ou à l’étranger.
D’Italie en France, en passant par plusieurs autres pays européens, Cheikh Kanté a l’habitude de réchauffer les coups de froid qui se sont souvent abattus sur les relations entre camarades marron-beige. Autre particularité de l’ancien patron du Port autonome de Dakar : quand la plupart des ministres s’emmurent dans un silence assourdissant, lorsque le Président Macky Sall et son bilan à la tête du pays sont rudoyés par l’opposition, il fait partie des rares à monter au front, pour essayer de rendre lisse le « Cv » présidentiel de Macky Sall. Pour ce faire, Cheikh Kanté a initié, depuis plusieurs mois, une Revue dénommée « Tam-Tam ». Ce, pour vulgariser les actions de son mentor.
« J’ai choisi de donner le nom de ce fabuleux instrument à ce journal, puisque je considère qu’il permettra une large diffusion de la mise en œuvre d’une doctrine africaine, le Plan Sénégal Emergent (PSE), résultante d’une pensée cartésienne d’organisation et de méthode d’un homme d’exception, le Président Macky Sall, qui fait battre l’économie Sénégalaise au rythme du Tam-Tam de la mondialisation, tout en impulsant le tempo qui mènera vers l’indépendance des économies Africaines », avait-il expliqué au moment de sa création.
SOURCE A
En effet, même si beaucoup l’ignorent, l’ancien ministre chargé du Plan Sénégal Emergent(PSE), Cheikh Kanté, qui a été bombardé Envoyé spécial du chef de l’Etat, à la faveur du dernier remaniement ministériel, a rang de ministre d’Etat. A ce statut de prestige, vient se greffer le fait que, selon les indiscrétions parvenues au canard, l’ancien directeur général du Port autonome de Dakar va disposer de ses bureaux au sein de la Présidence de la République. Avec un rang de ministre d’Etat, Cheikh Kanté conserve la composition de son Cabinet, crèchera au sein de la Présidence de la République et a des attributions transversales. Autre chose méconnue de l’opinion, jusqu’ici : Cheikh Kanté conservera l’intégralité de la composition du Cabinet, dont il disposait quand il tenait les manettes du Ministère en charge du Suivi du PSE. Macky Sall, ne s’en est pas arrêté là. La raison ? Son homme de confiance aura des fonctions transversales, à l’intérieur comme à l’extérieur du Sénégal. En d’autres termes, Cheikh Kanté aura un mot à dire sur les Projets, les grandes réformes, entre autres gros dossiers.
Quid des Institutions internationales et des Conférences internationales ? Il sera l’œil et l’oreille du chef de l’Etat, quand l’envie de lui confier des tâches, en démangera Macky Sall. Pour avoir toujours cultivé le consensus social, le nouvel Envoyé spécial ne devrait pas être en terrain inconnu. Mais en grattant le vernis qui recouvre toutes ces prérogatives collées à Cheikh Kanté, on finit par y débusquer une dure réalité: l’actuel Envoyé spécial est, certes, un inconditionnel de Macky Sall, mais aussi du Port autonome de Dakar à son défunt Ministère en charge du Suivi du PSE, il avait toujours cultivé le consensus social. D’ailleurs, il a très souvent pris son bâton de pèlerin, pour éteindre des foyers de tensions. Notamment au sein de l’Alliance pour la République (Apr), lorsque celle-ci est parfois déchirée par des conflits de toutes sortes. Que ce soit au Sénégal ou à l’étranger.
D’Italie en France, en passant par plusieurs autres pays européens, Cheikh Kanté a l’habitude de réchauffer les coups de froid qui se sont souvent abattus sur les relations entre camarades marron-beige. Autre particularité de l’ancien patron du Port autonome de Dakar : quand la plupart des ministres s’emmurent dans un silence assourdissant, lorsque le Président Macky Sall et son bilan à la tête du pays sont rudoyés par l’opposition, il fait partie des rares à monter au front, pour essayer de rendre lisse le « Cv » présidentiel de Macky Sall. Pour ce faire, Cheikh Kanté a initié, depuis plusieurs mois, une Revue dénommée « Tam-Tam ». Ce, pour vulgariser les actions de son mentor.
« J’ai choisi de donner le nom de ce fabuleux instrument à ce journal, puisque je considère qu’il permettra une large diffusion de la mise en œuvre d’une doctrine africaine, le Plan Sénégal Emergent (PSE), résultante d’une pensée cartésienne d’organisation et de méthode d’un homme d’exception, le Président Macky Sall, qui fait battre l’économie Sénégalaise au rythme du Tam-Tam de la mondialisation, tout en impulsant le tempo qui mènera vers l’indépendance des économies Africaines », avait-il expliqué au moment de sa création.
SOURCE A