Cette fois-ci Monsieur Idrissa Seck, vous êtes allé trop loin. Vous n’avez pas franchi le Rubicon, vous l’avez défoncé. Tant qu’il s’agissait d’attaques, raisonnées ou inconsidérées, contre le Président Macky Sall et son régime, tant qu’il était question de donner des coups au bas de la ceinture, tant qu’il fallait fouiller et farfouiller dans les poubelles, ouvrir les tiroirs à cadavre, tenir des débats au ras de pâquerettes… on pouvait s’en indigner certes, mais vite on les classait dans le cadre de la bataille politique.
Mais, pour cette fois, vous ne vous êtes pas limité à lancer des diatribes à votre adversaire politique, le Président Macky Sall. Tel un éléphant dans un magasin de porcelaine, vous avez confondu dans vos attaques aveugles; nos vaillantes forces de sécurité. Vous les avez traitées de « peureuses » sous le prétexte qu’elles auraient dû choper le virus de la peur à elles transmis par le Président Macky Sall. Je me demande d’ailleurs par quel phénomène biochimique cette contamination est-elle possible ? Bref, rangeons cela dans la catégorie des pitreries, dont vous seul en détenez le secret.
Plus sérieusement, Monsieur Seck, vous n’avez pas le droit de tenir des propos aussi désobligeants envers nos braves forces de sécurité. Certes, une bavure est vite arrivée, mais cela n’enlève en rien au mérite de ces femmes et hommes qui veillent sur nous de jour comme de nuit. Je ne crois pas qu’ils méritent autant de manque de considération. Car ils assurent notre sécurité, votre sécurité, celles de nos biens et de vos biens même lorsque vous vous prélassez à Saint-James, en appuyant sur un bouton pour passer la commande de paella de Madame.
Non, Monsieur Seck, vous n’avez pas le droit d’être aussi discourtois envers nos forces de sécurité, en votre qualité d’homme d’État pour avoir été ministre, Ministre d’Etat-Directeur de cabinet de président de la République, Premier ministre et surtout, pour quelqu’un qui aspire à conduire les destinées de ce pays, donc à être le chef suprême des armées et patron de la Police nationale.
Somme toute, je ne sais pas, Monsieur Seck, si vous avez pris la pleine mesure de vos propos. Mais ils sont de nature à installer la tension entre les forces de sécurité et les populations. Cela peut créer un climat de suspicion et de haine. Les premières pourraient être enclines à démontrer qu’elles ne sont pas des poltronnes tandis que les secondes n’auraient plus aucun respect pour elles. Si on en arrive là, les portes de la guerre civile n’auront pas besoin d’être défoncées.
Alors resaisissez-vous Monsieur Seck. Le jeu n’en vaut pas la chandelle. Et vous comme nous tous, devons une fière chandelle à nos débonnaires forces de sécurité.
https://an-news.com/
Mais, pour cette fois, vous ne vous êtes pas limité à lancer des diatribes à votre adversaire politique, le Président Macky Sall. Tel un éléphant dans un magasin de porcelaine, vous avez confondu dans vos attaques aveugles; nos vaillantes forces de sécurité. Vous les avez traitées de « peureuses » sous le prétexte qu’elles auraient dû choper le virus de la peur à elles transmis par le Président Macky Sall. Je me demande d’ailleurs par quel phénomène biochimique cette contamination est-elle possible ? Bref, rangeons cela dans la catégorie des pitreries, dont vous seul en détenez le secret.
Plus sérieusement, Monsieur Seck, vous n’avez pas le droit de tenir des propos aussi désobligeants envers nos braves forces de sécurité. Certes, une bavure est vite arrivée, mais cela n’enlève en rien au mérite de ces femmes et hommes qui veillent sur nous de jour comme de nuit. Je ne crois pas qu’ils méritent autant de manque de considération. Car ils assurent notre sécurité, votre sécurité, celles de nos biens et de vos biens même lorsque vous vous prélassez à Saint-James, en appuyant sur un bouton pour passer la commande de paella de Madame.
Non, Monsieur Seck, vous n’avez pas le droit d’être aussi discourtois envers nos forces de sécurité, en votre qualité d’homme d’État pour avoir été ministre, Ministre d’Etat-Directeur de cabinet de président de la République, Premier ministre et surtout, pour quelqu’un qui aspire à conduire les destinées de ce pays, donc à être le chef suprême des armées et patron de la Police nationale.
Somme toute, je ne sais pas, Monsieur Seck, si vous avez pris la pleine mesure de vos propos. Mais ils sont de nature à installer la tension entre les forces de sécurité et les populations. Cela peut créer un climat de suspicion et de haine. Les premières pourraient être enclines à démontrer qu’elles ne sont pas des poltronnes tandis que les secondes n’auraient plus aucun respect pour elles. Si on en arrive là, les portes de la guerre civile n’auront pas besoin d’être défoncées.
Alors resaisissez-vous Monsieur Seck. Le jeu n’en vaut pas la chandelle. Et vous comme nous tous, devons une fière chandelle à nos débonnaires forces de sécurité.
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