Contre la république des Talibés ! Face à un obscurantisme clientéliste, ahurissant, place maintenant à celle des valeurs démocratiques !
Fini le temps magico mythique de l’arrogance ! Aux oubliettes, la surabondance magico mythologique ! Simultanément, le réveil sera brutal et les consciences en berne, s’imposent d’ores et déjà pour inverser la tendance satanique des marchands d’illusions !
Nous passons plus de temps à célébrer des cérémonies religieuses destinées aux seules familles des confréries qu’à travailler réellement. Et l’état y dépense des mds de CFA chaque année. Cela n’est pas raisonnable ! A qui profite donc cette manne ? Absentéisme et présentéisme ! On invoque des raisons souvent bidon pour s’absenter pour un oui ou pour un non, alors qu’ils sont payés. Le présentéisme est plus grave, car certains fonctionnaires sermonnés de respecter les heures du travail, passent leur temps à surfer sur internet, à dialoguer au téléphone ou à draguer des femmes tout simplement, plutôt qu’à travailler.
Sénégalais, sénégalaises, vieux et jeunes, vous qui dormez encore; l’heure est venue pour jeter les bases d’une société égalitaire, juste et fraternelle, fondée sur la valeur travail, la justice pour tous devant la loi, réveillez-vous donc de votre léthargie et brisez donc vos chaînes autour de vos cous marqués au fer rouge !
Hier, la royauté et la noblesse régissaient la société coupée en deux : « les badolos » d’un côté, les esclaves relégués au second plan, aujourd’hui, les confréries, sous l’apparat des rosaires, se sont substituées à la féodalité d’antan.
Entre la noblesse et les congrégations religieuses, la frontière est éminemment poreuse. Laquelle des deux est donc pire ? Puisque les deux se valent finalement, car le peuple ordinaire, laissé pour compte, est le principal perdant. La laïcité est antinomique aux chapelles corrompues, qui se nourrissent de l’épaule de la république. La casquette de marabout est plus rentable que tout autre dans ce pays. Qui peut parler de progrès, lorsqu’une certaine minorité, au nom d’Allah, prétendument exemplaire, utilise la religion comme système héréditaire, pour se remplir les poches, comme si celle-ci est automatique ?
Nous sommes au cœur d’un paradoxe dans lequel les dépravations des mœurs sont en totale contradiction avec l’image véhiculé. Hypocrisie, mystification à grande échelle, sans que rien ne l’arrête, jusqu’à preuve du contraire. C’est assurément une perte des vraies valeurs laissées aux vestiaires.
Que cela ne tienne ! « Patial », lorsque des jeunes filles, presque dénudées aux strings légers montrent ouvertement leurs fesses dans les rues de Dakar, cela prouve l’échec cuisant d’une société en perte de vitesse, coupable qui prétend être ce qu’elle n’est point. Où est donc la valeur ajoutée d’une société fortement fausse dans laquelle on distille, oui, ici et là : « fi daniou fée niane »-« c’est une terre bien choisie et bénie ».Certes, mais question. Pourquoi donc les descendants de ceux qui sont sensés porter la bonne parole, soient les seuls nantis matériellement et financièrement, contrairement à la majorité laissée sur le quai ?
Faire sauter les verrous devient une œuvre de salubrité publique. Une thérapie favorable. Même si la question heurte les consciences scotchées, il est impératif d’en débattre. Un tabou qu’il faut absolument dénoncer quoique cela puisse coûter. Pour faire de la mayonnaise, il faut casser des œufs. Nous sommes des musulmans éclairés et non des moutons dressés. La prolifération des mosquées plus établies que les usines pour réduire le chômage, ne développent jamais un pays, mais profitent à leurs actionnaires majoritaires. Ce sont en réalité des écrans de fumée, des entreprises unipersonnelles très lucratives, puisque l’argent généré va directement à des familles particulières.
Comment accepter une société contradictoire à deux vitesses où les uns portent des lunettes ray ban cerclés d’or, voyagent sans compter aux quatre coins de la planète, à la seule fin de racketter des citoyens soumis et corvéables, pour leurs seuls noms, s’enrichissent ostensiblement et insolemment avec des comptes bancaires plus que fournis, roulent non seulement sur des bolides rutilants dernier cri et qui sont des collectionneurs de belles femmes, souvent très jeunes, livrées à la merci de ces gens lesquels promettant un paradis hypothétique, au prétexte qu’ils sont nés sous la bonne étoile ?
Comme si cela ne suffisait pas encore, des châteaux à la pelle, en sus, ils sont logés dans des hôtels luxueux aux notes exorbitantes payées aux frais des talibés-esclaves, assujettis à l’impôt, sous formes de dons bidon, quand on sait que des téléphones portables, entre autres, accessoires démesurés, black Berry, ordinateurs portables, Apple coûtant très chers, leur sont fournis gratuitement, alors que leurs propres familles tirent le diable par la queue et se nourrissent exclusivement d’eau fraîche. Dire que nous sommes à la pierre taillée, relève d’un euphémisme extraordinairement condamnable au regard de la morale.
Qui peut donc nier ces fléaux plus que néfastes, gangrénant notre société totalement en retard, si ce n’est la mafia clanique, au nom de l’islam, imbue de mauvaise foi et leurs chiens de garde chiourmes immédiats, qui blanchissent l’argent sale et illicite ? Non, on aura beau crier et dénoncer les lobbies de la franc-maçonnerie, mais la réalité est autre. Parlons de ceux qui dénoncent la franc-maçonnerie et qui y tirent leur jeu !
Lorsque wade inaugurait en grande pompe sa statuette satanique en 2007, qui étaient donc ces invités d’honneur apparemment respectables ? Point n’est besoin de les citer, ils se reconnaissent publiquement et notoirement par leur posture des leurres. Ce n’était pas le petit peuple, qui n’en avait cure, mais bien la bourgeoisie locale conservatrice, réactionnaire, qui était très représentative, ce jour-là, oubliait même sa raison d’être ?
Finie la république de la vache à lait et des fromages modulables, extensibles !
La république humiliée, agenouillée, prête le flanc et s’accroupit bassement devant ce que l’on appelle la servilité, en échange d’un clientéliste comme retour de l’ascenseur.
La mythification n’est qu’une vue de l’esprit entretenue par une certaine mafia maléfique, qui se refugie derrière la religion, à dessein de se gloutonner sans discontinuité. La république n’est pas à la merci des marchands d’illusions.
Privilèges, passeports de service complaisants, distributions de mallettes incongrues, indues, favoritismes, cultes de personnalité qui ne reposent sur rien. Une simple vue de l’esprit. Refonte des mentalités dans le sens du progrès et non dans le fatalisme.
Le paradis n’est pas automatique, le débat se pose et la république n’y échappera pas.
La république n’a pas vocation à s’agenouiller devant des confréries qui se remplissent les poches, alors qu’elles n’apportent rien à celle-ci. Il faut changer maintenant ! Inutile d’ergoter, l’impunité est désormais vaincue, place à une république normale !
Honneur à la morale républicaine et des valeurs démocratiques ! Vous le savez parfaitement, quoique vous fassiez, la bataille d’une république des Talibés est déjà perdue ! Le Sénégal debout contre le recul n’échappera nullement au débat ! Fini l’état wade et l’abondance des chapelets !
Finie la secte satanique aux apparences immortelles ! Pour ceux qui ne le savent pas encore, qu’ils libèrent donc le gourou démoniaque dans son cachot !
«Ku xamul buur saay na, ñu nela buur dee na»-à qui ne comprend "le roi a disparu", on lui dit : "le roi est mort». A ce prisme là, la république ne doit plus être l’otage permanent des confréries et montrer qu’elle détient à elle seule le vrai pouvoir et n’a pas à se plier ridiculement devant un quelconque chef religieux, fut il un descendant de telle ou telle famille, d’où qu’il puisse être, sans quoi la démocratie est biaisée. A défaut, c’est l’unité nationale qui serait en jeu.
Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye
Les vérités d’un internaute Africain solitaire
A suivre…….
Fini le temps magico mythique de l’arrogance ! Aux oubliettes, la surabondance magico mythologique ! Simultanément, le réveil sera brutal et les consciences en berne, s’imposent d’ores et déjà pour inverser la tendance satanique des marchands d’illusions !
Nous passons plus de temps à célébrer des cérémonies religieuses destinées aux seules familles des confréries qu’à travailler réellement. Et l’état y dépense des mds de CFA chaque année. Cela n’est pas raisonnable ! A qui profite donc cette manne ? Absentéisme et présentéisme ! On invoque des raisons souvent bidon pour s’absenter pour un oui ou pour un non, alors qu’ils sont payés. Le présentéisme est plus grave, car certains fonctionnaires sermonnés de respecter les heures du travail, passent leur temps à surfer sur internet, à dialoguer au téléphone ou à draguer des femmes tout simplement, plutôt qu’à travailler.
Sénégalais, sénégalaises, vieux et jeunes, vous qui dormez encore; l’heure est venue pour jeter les bases d’une société égalitaire, juste et fraternelle, fondée sur la valeur travail, la justice pour tous devant la loi, réveillez-vous donc de votre léthargie et brisez donc vos chaînes autour de vos cous marqués au fer rouge !
Hier, la royauté et la noblesse régissaient la société coupée en deux : « les badolos » d’un côté, les esclaves relégués au second plan, aujourd’hui, les confréries, sous l’apparat des rosaires, se sont substituées à la féodalité d’antan.
Entre la noblesse et les congrégations religieuses, la frontière est éminemment poreuse. Laquelle des deux est donc pire ? Puisque les deux se valent finalement, car le peuple ordinaire, laissé pour compte, est le principal perdant. La laïcité est antinomique aux chapelles corrompues, qui se nourrissent de l’épaule de la république. La casquette de marabout est plus rentable que tout autre dans ce pays. Qui peut parler de progrès, lorsqu’une certaine minorité, au nom d’Allah, prétendument exemplaire, utilise la religion comme système héréditaire, pour se remplir les poches, comme si celle-ci est automatique ?
Nous sommes au cœur d’un paradoxe dans lequel les dépravations des mœurs sont en totale contradiction avec l’image véhiculé. Hypocrisie, mystification à grande échelle, sans que rien ne l’arrête, jusqu’à preuve du contraire. C’est assurément une perte des vraies valeurs laissées aux vestiaires.
Que cela ne tienne ! « Patial », lorsque des jeunes filles, presque dénudées aux strings légers montrent ouvertement leurs fesses dans les rues de Dakar, cela prouve l’échec cuisant d’une société en perte de vitesse, coupable qui prétend être ce qu’elle n’est point. Où est donc la valeur ajoutée d’une société fortement fausse dans laquelle on distille, oui, ici et là : « fi daniou fée niane »-« c’est une terre bien choisie et bénie ».Certes, mais question. Pourquoi donc les descendants de ceux qui sont sensés porter la bonne parole, soient les seuls nantis matériellement et financièrement, contrairement à la majorité laissée sur le quai ?
Faire sauter les verrous devient une œuvre de salubrité publique. Une thérapie favorable. Même si la question heurte les consciences scotchées, il est impératif d’en débattre. Un tabou qu’il faut absolument dénoncer quoique cela puisse coûter. Pour faire de la mayonnaise, il faut casser des œufs. Nous sommes des musulmans éclairés et non des moutons dressés. La prolifération des mosquées plus établies que les usines pour réduire le chômage, ne développent jamais un pays, mais profitent à leurs actionnaires majoritaires. Ce sont en réalité des écrans de fumée, des entreprises unipersonnelles très lucratives, puisque l’argent généré va directement à des familles particulières.
Comment accepter une société contradictoire à deux vitesses où les uns portent des lunettes ray ban cerclés d’or, voyagent sans compter aux quatre coins de la planète, à la seule fin de racketter des citoyens soumis et corvéables, pour leurs seuls noms, s’enrichissent ostensiblement et insolemment avec des comptes bancaires plus que fournis, roulent non seulement sur des bolides rutilants dernier cri et qui sont des collectionneurs de belles femmes, souvent très jeunes, livrées à la merci de ces gens lesquels promettant un paradis hypothétique, au prétexte qu’ils sont nés sous la bonne étoile ?
Comme si cela ne suffisait pas encore, des châteaux à la pelle, en sus, ils sont logés dans des hôtels luxueux aux notes exorbitantes payées aux frais des talibés-esclaves, assujettis à l’impôt, sous formes de dons bidon, quand on sait que des téléphones portables, entre autres, accessoires démesurés, black Berry, ordinateurs portables, Apple coûtant très chers, leur sont fournis gratuitement, alors que leurs propres familles tirent le diable par la queue et se nourrissent exclusivement d’eau fraîche. Dire que nous sommes à la pierre taillée, relève d’un euphémisme extraordinairement condamnable au regard de la morale.
Qui peut donc nier ces fléaux plus que néfastes, gangrénant notre société totalement en retard, si ce n’est la mafia clanique, au nom de l’islam, imbue de mauvaise foi et leurs chiens de garde chiourmes immédiats, qui blanchissent l’argent sale et illicite ? Non, on aura beau crier et dénoncer les lobbies de la franc-maçonnerie, mais la réalité est autre. Parlons de ceux qui dénoncent la franc-maçonnerie et qui y tirent leur jeu !
Lorsque wade inaugurait en grande pompe sa statuette satanique en 2007, qui étaient donc ces invités d’honneur apparemment respectables ? Point n’est besoin de les citer, ils se reconnaissent publiquement et notoirement par leur posture des leurres. Ce n’était pas le petit peuple, qui n’en avait cure, mais bien la bourgeoisie locale conservatrice, réactionnaire, qui était très représentative, ce jour-là, oubliait même sa raison d’être ?
Finie la république de la vache à lait et des fromages modulables, extensibles !
La république humiliée, agenouillée, prête le flanc et s’accroupit bassement devant ce que l’on appelle la servilité, en échange d’un clientéliste comme retour de l’ascenseur.
La mythification n’est qu’une vue de l’esprit entretenue par une certaine mafia maléfique, qui se refugie derrière la religion, à dessein de se gloutonner sans discontinuité. La république n’est pas à la merci des marchands d’illusions.
Privilèges, passeports de service complaisants, distributions de mallettes incongrues, indues, favoritismes, cultes de personnalité qui ne reposent sur rien. Une simple vue de l’esprit. Refonte des mentalités dans le sens du progrès et non dans le fatalisme.
Le paradis n’est pas automatique, le débat se pose et la république n’y échappera pas.
La république n’a pas vocation à s’agenouiller devant des confréries qui se remplissent les poches, alors qu’elles n’apportent rien à celle-ci. Il faut changer maintenant ! Inutile d’ergoter, l’impunité est désormais vaincue, place à une république normale !
Honneur à la morale républicaine et des valeurs démocratiques ! Vous le savez parfaitement, quoique vous fassiez, la bataille d’une république des Talibés est déjà perdue ! Le Sénégal debout contre le recul n’échappera nullement au débat ! Fini l’état wade et l’abondance des chapelets !
Finie la secte satanique aux apparences immortelles ! Pour ceux qui ne le savent pas encore, qu’ils libèrent donc le gourou démoniaque dans son cachot !
«Ku xamul buur saay na, ñu nela buur dee na»-à qui ne comprend "le roi a disparu", on lui dit : "le roi est mort». A ce prisme là, la république ne doit plus être l’otage permanent des confréries et montrer qu’elle détient à elle seule le vrai pouvoir et n’a pas à se plier ridiculement devant un quelconque chef religieux, fut il un descendant de telle ou telle famille, d’où qu’il puisse être, sans quoi la démocratie est biaisée. A défaut, c’est l’unité nationale qui serait en jeu.
Modou ngoné Fall DéguèneNdiaye
Les vérités d’un internaute Africain solitaire
A suivre…….