Sénégalais !
Sous Senghor le pays adopte l’assimilation des contre-valeurs ou valeurs françaises comme mode de gestion .
Sous Diouf , c’est la continuité, avec pour mérite de redresser l’économie mis en lambeau par Senghor et la sagesse de nous éviter un bain de sang en 2000 .
Sous Wade c’est le règne du virtuel , dans l’euphorie, des slogans , de l’amateurisme , des vautours politiciens ou enturbannés.
Sénégalais ! Qui est ce type de sénégalais, dans le cercle du pouvoir jette des fleurs au roi, participe aux pillages des ressources nationales, éjecté se dresse en sentinelle pour le peuple.
Sénégalais ! Nous sommes des égoïstes et des mutants. Plus grave, le comportement des temporels musulmans qui ont un discours de saint envers les fidèles, un langage et une démarche d’affairistes envers la haute sphère.
Sénégalais ! Notre mal est un mal de temporel, de spirituel et de discipline. Est mirage tout remède qui limite son diagnostic sur les institutions de la République et l’économie délabrée .
Sénégalais ! Par la grâce et le soutien d’Allah, œuvrons pour :
• Un transfert de la capitale politique vers le centre du pays
• Une mise en place de communes d’arrondissement, reflet des sensibilités politiques, professionnelles, sociales, culturelles, religieuses et associatives, constituées, concourant au scrutin proportionnel. Les communautés rurales seront regroupées en communes. Les communes sont le réceptacle des besoins exprimés et s’en réfèrent au Département Recherches. Les communes sont les parlements au premier degré.
• Une adoption, par référendum, d’une de nos langues nationales, comme langue officielle. Le pulaar sera la langue africaine. L’anglais, l’arabe, le français des langues vivantes. L’étude de deux langues nationales est obligatoire.
• Un élargissement des domaines à agréer dans le Code des Investissements par « Est agréée toute unité créant de la plus-value, ne présentant pas de dangers et ne troublant pas l’ordre public ».
• Une mutation systématique de toutes les unités en sociétés, avec participation de l’Etat au capital, à hauteur de 12,5%. L’Etat se limite et assume, en exclusivité, les missions régaliennes.
• Les peines, pour les délits économiques et administratifs liés à la production, les services et la sécurité publique, seront renforcées pour sécuriser les investissements. Des contrôles périodiques et ou inopinés sont obligatoires.
• Une suppression des intérimaires dans le travail et des intermédiaires dans la production.
• Une réforme du traitement salarial par les systèmes de la tâche, de l’objectif de la mission. Instituer des sanctions positives, comme négatives.
• Une baisse des impôts entre 7 et 12,5% sur la production et du BIC à 25%, l’impôt sur le foncier généralisé et l’impôt sur l’importation à 18%.
• Accepter toutes les monnaies africaines et travailler pour la création d’une monnaie africaine.
• La conduite des communautés religieuses devra être inspirée par la Thora, les Psaumes, les Evangiles et le Coran.
Sénégalais ! Limitons les institutions de l’Etat à :
PRESIDENCE
Secrétariat d’Etat à la Sûreté
Secrétariat d’Etat aux Affaires Etrangères
Secrétariat Général
1. Chancellerie
2. Garde des sceaux
3. Coordination
PARLEMENT
• Le Président du Parlement est élu, en même temps que le Président de la République et pour la même période.
• Les membres du Bureau sont élus, au scrutin proportionnel, sur une liste nationale des formations politiques.
• Les experts sollicités pour composer les commissions techniques ou ad hoc, comme conseillers.
• Les représentants des communes, pour la session, pour délivrer le message de ses mandats et participer à l’adoption des lois.
Le Parlement a pouvoir de législateur, de contrôle et de sanction. Il abrite le Haut Conseil de la Fonction Publique et la Haute Cour de Justice (pour toutes les fonctions étatiques et les magistrats).
JUDICIAIRE
Les privilèges de juridictions et la notion galvaudée «dans l’exercice de ces fonctions » seront revus et corrigés, pour ne pas encourager cette impunité.
Cours et Tribunaux
Investigations
Régie
a) Elections et Mandats
b) Ordre public
c) Régulations
EXECUTIF
RECHERCHES
a) Cellules ad hoc et Partenaires
b) Documentation
c) Exploitation
FINANCES
a) Impôts et Taxes
b) Trésor Public
c) Inspections
ADMINISTRATION TERRITORIALE
a) Collectivités Locales
b) Domaines
c) Aménagements
SECURITE PUBLIQUE
SERVICE CIVIQUE
FORMATION
a) Education de Base
b) Formation Professionnelle
c) Formation Académique
SPORT ET CULTURE
SANTE
TRAVAIL
CHAMBRE DE L’AGRICULTURE, DE L’ARTISANAT, DU COMMERCE, DE L’INDUSTRIE ET DES SERVICES
ENVIRONNEMENT
EQUIPEMENT
a) Logistiques
b) Infrastructures
NB : Document porté à la connaissance des Assises Nationales, à plusieurs personnalités politiques.
Ibrahima DIENE
Rue 16 x 11 Médina DAKAR
e-mail idiene259@orange.sn
tél : 33 821 53 36 / 76 490 00 38
Sous Senghor le pays adopte l’assimilation des contre-valeurs ou valeurs françaises comme mode de gestion .
Sous Diouf , c’est la continuité, avec pour mérite de redresser l’économie mis en lambeau par Senghor et la sagesse de nous éviter un bain de sang en 2000 .
Sous Wade c’est le règne du virtuel , dans l’euphorie, des slogans , de l’amateurisme , des vautours politiciens ou enturbannés.
Sénégalais ! Qui est ce type de sénégalais, dans le cercle du pouvoir jette des fleurs au roi, participe aux pillages des ressources nationales, éjecté se dresse en sentinelle pour le peuple.
Sénégalais ! Nous sommes des égoïstes et des mutants. Plus grave, le comportement des temporels musulmans qui ont un discours de saint envers les fidèles, un langage et une démarche d’affairistes envers la haute sphère.
Sénégalais ! Notre mal est un mal de temporel, de spirituel et de discipline. Est mirage tout remède qui limite son diagnostic sur les institutions de la République et l’économie délabrée .
Sénégalais ! Par la grâce et le soutien d’Allah, œuvrons pour :
• Un transfert de la capitale politique vers le centre du pays
• Une mise en place de communes d’arrondissement, reflet des sensibilités politiques, professionnelles, sociales, culturelles, religieuses et associatives, constituées, concourant au scrutin proportionnel. Les communautés rurales seront regroupées en communes. Les communes sont le réceptacle des besoins exprimés et s’en réfèrent au Département Recherches. Les communes sont les parlements au premier degré.
• Une adoption, par référendum, d’une de nos langues nationales, comme langue officielle. Le pulaar sera la langue africaine. L’anglais, l’arabe, le français des langues vivantes. L’étude de deux langues nationales est obligatoire.
• Un élargissement des domaines à agréer dans le Code des Investissements par « Est agréée toute unité créant de la plus-value, ne présentant pas de dangers et ne troublant pas l’ordre public ».
• Une mutation systématique de toutes les unités en sociétés, avec participation de l’Etat au capital, à hauteur de 12,5%. L’Etat se limite et assume, en exclusivité, les missions régaliennes.
• Les peines, pour les délits économiques et administratifs liés à la production, les services et la sécurité publique, seront renforcées pour sécuriser les investissements. Des contrôles périodiques et ou inopinés sont obligatoires.
• Une suppression des intérimaires dans le travail et des intermédiaires dans la production.
• Une réforme du traitement salarial par les systèmes de la tâche, de l’objectif de la mission. Instituer des sanctions positives, comme négatives.
• Une baisse des impôts entre 7 et 12,5% sur la production et du BIC à 25%, l’impôt sur le foncier généralisé et l’impôt sur l’importation à 18%.
• Accepter toutes les monnaies africaines et travailler pour la création d’une monnaie africaine.
• La conduite des communautés religieuses devra être inspirée par la Thora, les Psaumes, les Evangiles et le Coran.
Sénégalais ! Limitons les institutions de l’Etat à :
PRESIDENCE
Secrétariat d’Etat à la Sûreté
Secrétariat d’Etat aux Affaires Etrangères
Secrétariat Général
1. Chancellerie
2. Garde des sceaux
3. Coordination
PARLEMENT
• Le Président du Parlement est élu, en même temps que le Président de la République et pour la même période.
• Les membres du Bureau sont élus, au scrutin proportionnel, sur une liste nationale des formations politiques.
• Les experts sollicités pour composer les commissions techniques ou ad hoc, comme conseillers.
• Les représentants des communes, pour la session, pour délivrer le message de ses mandats et participer à l’adoption des lois.
Le Parlement a pouvoir de législateur, de contrôle et de sanction. Il abrite le Haut Conseil de la Fonction Publique et la Haute Cour de Justice (pour toutes les fonctions étatiques et les magistrats).
JUDICIAIRE
Les privilèges de juridictions et la notion galvaudée «dans l’exercice de ces fonctions » seront revus et corrigés, pour ne pas encourager cette impunité.
Cours et Tribunaux
Investigations
Régie
a) Elections et Mandats
b) Ordre public
c) Régulations
EXECUTIF
RECHERCHES
a) Cellules ad hoc et Partenaires
b) Documentation
c) Exploitation
FINANCES
a) Impôts et Taxes
b) Trésor Public
c) Inspections
ADMINISTRATION TERRITORIALE
a) Collectivités Locales
b) Domaines
c) Aménagements
SECURITE PUBLIQUE
SERVICE CIVIQUE
FORMATION
a) Education de Base
b) Formation Professionnelle
c) Formation Académique
SPORT ET CULTURE
SANTE
TRAVAIL
CHAMBRE DE L’AGRICULTURE, DE L’ARTISANAT, DU COMMERCE, DE L’INDUSTRIE ET DES SERVICES
ENVIRONNEMENT
EQUIPEMENT
a) Logistiques
b) Infrastructures
NB : Document porté à la connaissance des Assises Nationales, à plusieurs personnalités politiques.
Ibrahima DIENE
Rue 16 x 11 Médina DAKAR
e-mail idiene259@orange.sn
tél : 33 821 53 36 / 76 490 00 38