Le neuf octobre de l'année deux mille douze (9 octobre 2012), Alioune Sarr, Maire de Notto Diobasse désaffecte au profit de sa population et des générations futures, les cent trente hectares (130Ha) qui étaient attribués à la société SCAC depuis le 16 décembre 2009, conformément à la loi 6646 du 17 juin 1966 portant loi sur le domaine national et au décret 72 1288 du 27 Octobre 1972 relatif aux conditions d’affectation et de désaffectation des terres du domaine national.
L'extrait de délibération n° 80, signé par le Maire Alioune Sarr et approuvé par le représentant de l'Etat, le sous-Préfet M. Djibril Niane le 9 octobre 2012, est accessible au public dans les livres de la Mairie et de la sous-préfecture de Notto.
Légalité contre vénalité
La loi sur le foncier au Sénégal, dispose que si deux années après une délibération, les terres affectées ne sont pas mises en valeur, la collectivité locale doit procéder à leur désaffection pour cause d'utilité publique. C’est ce qui a été fait, en toute transparence.
Dans le cas d’espèce, ce n’est que huit (8) années après que des supposés détenteurs de titres de propriété, se manifestent subitement dans la presse, pour réclamer des terres qui ont été désaffectées.
Pour quelles raisons ? Eux seuls savent.
Ces bruyants souscripteurs, sûrement de braves Sénégalais, qui ont été abusés par M. Salomon Butcho, le responsable de SCAC, aujourd’hui réfugié au Cameroun et activement recherché par Interpol.
Il fait l’objet de nombreuses plaintes pour avoir encaissé l’argent des souscripteurs, alors même qu’il n’avait aucune autorisation de lotissement, indispensable à toute commercialisation par sa société de parcelles à usage d’habitation.
Ces souscripteurs sont inconnus des services de la Mairie de Notto Diobasse, avec lesquels ils n’ont jamais eu une quelconque relation administrative, encore moins commerciale. Ils ne disposent d’aucun acte signé par le Maire de la commune de Notto Diobasse.
N’ayant pu mettre la main sur Salomon Butcho avec qui ils avaient fait leur transaction commerciale, de droit privé, Ils ou certains d’entre eux, ont choisi en bande organisée de « porter presse », alors qu’ils savent pertinemment que depuis le 9 octobre 2012, la société Scac, leur seule et unique interlocutrice, ne dispose plus de foncier à Notto Diobasse.
Tout cela à quelles fins ?
Le ridicule ne tue plus. Figurez-vous que ces souscripteurs, que le Maire Alioune Sarr n’a jamais rencontrés, dont certains vocifèrent, après avoir créé le 6 janvier 2018, soit huit années après la désaffectation, une coopérative d’habitat des souscripteurs de Scac, ont même félicité le même Maire Alioune Sarr d'avoir désaffecté les terres affectées à la société Scac et dans la foulée, lui ont demandé dans leur courrier daté du 30 janvier (ref: 2019-01-30/AR1), de leur affecter 43 ha à Notto.
Sont-ce ces mêmes personnes qui ont mandaté ceux qui ont pris d’assaut l’émission "Wax sa xalaat" du samedi 13 juin 2020, dans des propos discourtois, pour parler avec arrogance et impertinence, croyant qu’ils ont plus de droits que les autres Sénégalais ? C’est peine perdue.
Le Sénégal est et demeure un Etat de droit et les populations de Notto Diobasse, leur Maire en tête, avec leur hospitalité et leur courtoisie légendaires, défendront leurs droits fonciers contre la spéculation, la spoliation, l'activisme et le trafic d'influence.
Des projets viables, y seront étudiés et accueillis, dès lors que les intérêts des populations sont préservés et les lois du Sénégal respectées.
Mais, Ils feront face à l'adversité d’où qu’elle vienne comme ils l'ont fait depuis des siècles. Ces souscripteurs ont les mêmes droits que les Sénégalais. Mais, ils n'ont pas plus de droits que les Sénégalais.
L'extrait de délibération n° 80, signé par le Maire Alioune Sarr et approuvé par le représentant de l'Etat, le sous-Préfet M. Djibril Niane le 9 octobre 2012, est accessible au public dans les livres de la Mairie et de la sous-préfecture de Notto.
Légalité contre vénalité
La loi sur le foncier au Sénégal, dispose que si deux années après une délibération, les terres affectées ne sont pas mises en valeur, la collectivité locale doit procéder à leur désaffection pour cause d'utilité publique. C’est ce qui a été fait, en toute transparence.
Dans le cas d’espèce, ce n’est que huit (8) années après que des supposés détenteurs de titres de propriété, se manifestent subitement dans la presse, pour réclamer des terres qui ont été désaffectées.
Pour quelles raisons ? Eux seuls savent.
Ces bruyants souscripteurs, sûrement de braves Sénégalais, qui ont été abusés par M. Salomon Butcho, le responsable de SCAC, aujourd’hui réfugié au Cameroun et activement recherché par Interpol.
Il fait l’objet de nombreuses plaintes pour avoir encaissé l’argent des souscripteurs, alors même qu’il n’avait aucune autorisation de lotissement, indispensable à toute commercialisation par sa société de parcelles à usage d’habitation.
Ces souscripteurs sont inconnus des services de la Mairie de Notto Diobasse, avec lesquels ils n’ont jamais eu une quelconque relation administrative, encore moins commerciale. Ils ne disposent d’aucun acte signé par le Maire de la commune de Notto Diobasse.
N’ayant pu mettre la main sur Salomon Butcho avec qui ils avaient fait leur transaction commerciale, de droit privé, Ils ou certains d’entre eux, ont choisi en bande organisée de « porter presse », alors qu’ils savent pertinemment que depuis le 9 octobre 2012, la société Scac, leur seule et unique interlocutrice, ne dispose plus de foncier à Notto Diobasse.
Tout cela à quelles fins ?
Le ridicule ne tue plus. Figurez-vous que ces souscripteurs, que le Maire Alioune Sarr n’a jamais rencontrés, dont certains vocifèrent, après avoir créé le 6 janvier 2018, soit huit années après la désaffectation, une coopérative d’habitat des souscripteurs de Scac, ont même félicité le même Maire Alioune Sarr d'avoir désaffecté les terres affectées à la société Scac et dans la foulée, lui ont demandé dans leur courrier daté du 30 janvier (ref: 2019-01-30/AR1), de leur affecter 43 ha à Notto.
Sont-ce ces mêmes personnes qui ont mandaté ceux qui ont pris d’assaut l’émission "Wax sa xalaat" du samedi 13 juin 2020, dans des propos discourtois, pour parler avec arrogance et impertinence, croyant qu’ils ont plus de droits que les autres Sénégalais ? C’est peine perdue.
Le Sénégal est et demeure un Etat de droit et les populations de Notto Diobasse, leur Maire en tête, avec leur hospitalité et leur courtoisie légendaires, défendront leurs droits fonciers contre la spéculation, la spoliation, l'activisme et le trafic d'influence.
Des projets viables, y seront étudiés et accueillis, dès lors que les intérêts des populations sont préservés et les lois du Sénégal respectées.
Mais, Ils feront face à l'adversité d’où qu’elle vienne comme ils l'ont fait depuis des siècles. Ces souscripteurs ont les mêmes droits que les Sénégalais. Mais, ils n'ont pas plus de droits que les Sénégalais.