La crise globale que traverse le monde constitue une opportunité historique pour réinventer le développement en partant des préoccupations des populations.
C’est à cet exercice que se sont appliqués les Assises Nationales et qui a abouti au mouvement social du M23 dans lequel Bes Du Niakk a joué un rôle de premier plan.
Aujourd’hui on ne peut plus évacuer la question des mouvements sociaux à leur apport au politique souvent difficile à leur capacité à impulser le changement.
Les luttes politiques qui ont eu lieu et qui ont abouti à la chute de Wade, nous renseignent amplement sur, la relation des mouvements sociaux avec le pouvoir et les dynamiques de transformation sociales qu’ils peuvent engendrer.
C’est toute la société civile qui s’est organisée au sein d’un processus innovant de participation et l’élaboration populaire pour redéfinir le cadre d’une refondation nationale Bess Du ÑAKK y a joué toute sa part Au passage, nous restons convaincus que la vraie alternative, pour sortir le Sénégal des ténèbres, et des difficultés socioéconomiques auxquelles il est confronté, demeure l’implication de Mansour Sy Djamil dans la gestion du pouvoir . Son aura, sa crédibilité et sa vision politique ont fini de faire renaitre l’espoir chez les populations et certains observateurs de la scène géopolitique nationale pour une realternance à Macky Sall .
En effet, notre leader est le seul candidat lors des élections législatives qui a pris l’initiative de descendre à la base pour défier les grands partis et coalitions politiques. Et le résultat obtenu a été probant avec quatre ( 04) députés soit 6% de l’électorat. Sans oublier, notre mouvement est arrivé deuxième à Dakar derrière la coalition Benno Yokk Yaakar. Si cet acquis a été possible, c’est grâce au programme politique prospectif et endogène de Mansour Sy Djamil.
Il est clair, Bes Du ÑAKK ne réclame pas de postes mais la logique voudrait, en tant que troisième force politique du Sénégal, que notre leader soit plus impliqué, et de manière inéluctable, dans la gestion des affaires publiques ( de l’Etat). Faut-il quitter ou pas la coalition Benno Bokk Yakaar qui accompagne le président de la République Macky Sall dans sa tentative de reconstruction du pays ? Dans ce débat posé, depuis quelques temps, au sein des différentes instances de notre mouvement citoyen, nous considérons qu’il est temps de rompre le pacte moral et politique avec le Président Macky Sall car nous pensons que Bes Du , à ÑAKK travers son leader, n’est pas pris en considération à sa juste valeur et ce malgré les divers combats politiques qu’il a menés, pour le départ de l’ancien Président Abdoulaye Wade et par ricochet pour l’avènement de l’alternance, porteuse d’espoir pour le peuple sénégalais. Absent de l’attelage gouvernemental et dans les autres segments de l’Etat, nous disons que Bes Du Nakk doit, tout bonnement, consolider son retrait de la coalition Benno Yokk Yaakar. Malgré tout ce qui l’a fait pour la réélection de Macky Sall, il est aujourd’hui injustement snobé. C’est politiquement irrationnel « Les hommes oublient plus facilement la mort de leur père que la perte de leur patrimoine » disait l’autre.
A cet effet, nous réaffirmons, ainsi après la journée d’études initiée par le comité d’initiative du mouvement citoyen Bes Du Nakk au mois de janvier dernier à Thiès, que nous ne voyons plus, au niveau de la diaspora de Belgique, l’opportunité de poursuivre le compagnonnage avec la mouvance présidentielle. L’heure du schisme ( Tito) semble irréversible si la question de l’application des assises nationales par Macky Sall n’est pas prise en compte ou encore si la reconnaissance politique de la réelle place Mansour Sy Djamil sur l'échiquier étatique au terme de son combat politique constant n’est pas effective. Nous devons reconsidérer notre relation avec Bennoo Bokk yakkar suite aux résultats des législatives qui a vu notre mouvement émergé comme troisième force politique du pays. Toutefois, nous précisons qu’après la rupture avec Benno, nous devons nous concentrer pour la massification et la structuration du mouvement. On doit penser asseoir un parti politique structuré avec des instances fonctionnelles. Pour nous, militants de la diaspora belge, les instances dirigeantes de Bes Du d ÑAKK oivent s’atteler à formaliser le mouvement en perspectives des élections locales de 2014 qui représentent une importance cruciale pour Mansour Sy Djamil dans le cadre de la distribution des cartes politiques pour la présidentielle prochaine.
Cette position de Bes Du B ÑAKK elgique rejoint, par ailleurs, la position incarnée par plusieurs fédérations du mouvement, au Sénégal et au niveau de la diaspora. Notre mouvement symbolise aujourd’hui une alternative pour relever les nombreux défis auxquels le Sénégal demeure toujours confronté pour son développement. Nul ne doute que Bes Du Ñakk continuera de s’imposer dans le landerneau sociopolitique car sa priorité absolue est de s’ériger en parti politique dynamique capable de répondre aux grandes aspirations du peuple sénégalais. Car, Bes Du ÑAKK a pénétré les masses devenant ainsi une force matérielle. Il n'agit plus d'interpréter le Sénégal, il s'agit maintenant de le transformer pour reprendre un philosophe.
Dame Diouf
BESS DU ÑAKK Belgique
C’est à cet exercice que se sont appliqués les Assises Nationales et qui a abouti au mouvement social du M23 dans lequel Bes Du Niakk a joué un rôle de premier plan.
Aujourd’hui on ne peut plus évacuer la question des mouvements sociaux à leur apport au politique souvent difficile à leur capacité à impulser le changement.
Les luttes politiques qui ont eu lieu et qui ont abouti à la chute de Wade, nous renseignent amplement sur, la relation des mouvements sociaux avec le pouvoir et les dynamiques de transformation sociales qu’ils peuvent engendrer.
C’est toute la société civile qui s’est organisée au sein d’un processus innovant de participation et l’élaboration populaire pour redéfinir le cadre d’une refondation nationale Bess Du ÑAKK y a joué toute sa part Au passage, nous restons convaincus que la vraie alternative, pour sortir le Sénégal des ténèbres, et des difficultés socioéconomiques auxquelles il est confronté, demeure l’implication de Mansour Sy Djamil dans la gestion du pouvoir . Son aura, sa crédibilité et sa vision politique ont fini de faire renaitre l’espoir chez les populations et certains observateurs de la scène géopolitique nationale pour une realternance à Macky Sall .
En effet, notre leader est le seul candidat lors des élections législatives qui a pris l’initiative de descendre à la base pour défier les grands partis et coalitions politiques. Et le résultat obtenu a été probant avec quatre ( 04) députés soit 6% de l’électorat. Sans oublier, notre mouvement est arrivé deuxième à Dakar derrière la coalition Benno Yokk Yaakar. Si cet acquis a été possible, c’est grâce au programme politique prospectif et endogène de Mansour Sy Djamil.
Il est clair, Bes Du ÑAKK ne réclame pas de postes mais la logique voudrait, en tant que troisième force politique du Sénégal, que notre leader soit plus impliqué, et de manière inéluctable, dans la gestion des affaires publiques ( de l’Etat). Faut-il quitter ou pas la coalition Benno Bokk Yakaar qui accompagne le président de la République Macky Sall dans sa tentative de reconstruction du pays ? Dans ce débat posé, depuis quelques temps, au sein des différentes instances de notre mouvement citoyen, nous considérons qu’il est temps de rompre le pacte moral et politique avec le Président Macky Sall car nous pensons que Bes Du , à ÑAKK travers son leader, n’est pas pris en considération à sa juste valeur et ce malgré les divers combats politiques qu’il a menés, pour le départ de l’ancien Président Abdoulaye Wade et par ricochet pour l’avènement de l’alternance, porteuse d’espoir pour le peuple sénégalais. Absent de l’attelage gouvernemental et dans les autres segments de l’Etat, nous disons que Bes Du Nakk doit, tout bonnement, consolider son retrait de la coalition Benno Yokk Yaakar. Malgré tout ce qui l’a fait pour la réélection de Macky Sall, il est aujourd’hui injustement snobé. C’est politiquement irrationnel « Les hommes oublient plus facilement la mort de leur père que la perte de leur patrimoine » disait l’autre.
A cet effet, nous réaffirmons, ainsi après la journée d’études initiée par le comité d’initiative du mouvement citoyen Bes Du Nakk au mois de janvier dernier à Thiès, que nous ne voyons plus, au niveau de la diaspora de Belgique, l’opportunité de poursuivre le compagnonnage avec la mouvance présidentielle. L’heure du schisme ( Tito) semble irréversible si la question de l’application des assises nationales par Macky Sall n’est pas prise en compte ou encore si la reconnaissance politique de la réelle place Mansour Sy Djamil sur l'échiquier étatique au terme de son combat politique constant n’est pas effective. Nous devons reconsidérer notre relation avec Bennoo Bokk yakkar suite aux résultats des législatives qui a vu notre mouvement émergé comme troisième force politique du pays. Toutefois, nous précisons qu’après la rupture avec Benno, nous devons nous concentrer pour la massification et la structuration du mouvement. On doit penser asseoir un parti politique structuré avec des instances fonctionnelles. Pour nous, militants de la diaspora belge, les instances dirigeantes de Bes Du d ÑAKK oivent s’atteler à formaliser le mouvement en perspectives des élections locales de 2014 qui représentent une importance cruciale pour Mansour Sy Djamil dans le cadre de la distribution des cartes politiques pour la présidentielle prochaine.
Cette position de Bes Du B ÑAKK elgique rejoint, par ailleurs, la position incarnée par plusieurs fédérations du mouvement, au Sénégal et au niveau de la diaspora. Notre mouvement symbolise aujourd’hui une alternative pour relever les nombreux défis auxquels le Sénégal demeure toujours confronté pour son développement. Nul ne doute que Bes Du Ñakk continuera de s’imposer dans le landerneau sociopolitique car sa priorité absolue est de s’ériger en parti politique dynamique capable de répondre aux grandes aspirations du peuple sénégalais. Car, Bes Du ÑAKK a pénétré les masses devenant ainsi une force matérielle. Il n'agit plus d'interpréter le Sénégal, il s'agit maintenant de le transformer pour reprendre un philosophe.
Dame Diouf
BESS DU ÑAKK Belgique