Le président Macky Sall n’a pas le choix. Il est contraint de continuer avec le Plan Takkal, s’il veut que les ménages continuent de recevoir de l’électricité normalement. « Dans le contexte actuel, nous ne pouvons pas encore abandonner le plan Takkal. Ce serait renoncer à près de 150 mégawatts. C’est horriblement cher. Mais nous accélérons la réfection des centrales à vapeurs qui sont aussi une composante de ce plan », dit-il.
Toutefois, ajoute le chef de l’Etat, il est en train de voir dans quelles mesures, un abandon partiel de certaines centrales de location pourrait permettre le plein recouvrement des capacités de (la centrale de) Kounoune qui peut déjà donner davantage de capacités et réduire le coût qui en est à 6 milliards par mois, en termes de combustibles, rien que pour cette centrale.
Pour ce qui est d’une éventuelle augmentation des prix, Macky note que ce n’est pas pour le moment envisagé. « Mais si les tendances devraient se poursuivre et les hydrocarbures devraient augmenter, c’est une situation que l’on pourrait envisager. Cette année, nous avons mis 105 milliards pour le contenir. Mais, on ne peut pas indéfiniment reporter. Le Sénégal a, malheureusement, une électricité très cher et elle n’est pas donnée aux Sénégalais. La solution durable, c’est de créer un approvisionnement, mieux rationalisé », ajoute-t-il.
SOURCE:NETTALI.NET
Toutefois, ajoute le chef de l’Etat, il est en train de voir dans quelles mesures, un abandon partiel de certaines centrales de location pourrait permettre le plein recouvrement des capacités de (la centrale de) Kounoune qui peut déjà donner davantage de capacités et réduire le coût qui en est à 6 milliards par mois, en termes de combustibles, rien que pour cette centrale.
Pour ce qui est d’une éventuelle augmentation des prix, Macky note que ce n’est pas pour le moment envisagé. « Mais si les tendances devraient se poursuivre et les hydrocarbures devraient augmenter, c’est une situation que l’on pourrait envisager. Cette année, nous avons mis 105 milliards pour le contenir. Mais, on ne peut pas indéfiniment reporter. Le Sénégal a, malheureusement, une électricité très cher et elle n’est pas donnée aux Sénégalais. La solution durable, c’est de créer un approvisionnement, mieux rationalisé », ajoute-t-il.
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