Alors quelle solution ? Trotte déjà l’idée d’un grand parti qui regrouperait la quasi-totalité des enfants égarés et/ ou boudeurs, et confié à un manager général. Un grand responsable qui a déjà fait ses preuves, ou un autre qui présente un profit de rassembleur et de rénovateur.
Mais là non plus, le choix n’est guère vaste. S’il faut vraiment réorganiser le Pds, il faudra un homme du sérail. Quelqu’un qui en connaît assez bien les rouages, et qui possède suffisamment d’autorité pour se faire obéir, malgré d’immanquables grincements de dents.
En d’autres termes un homme de la trempe de Idrissa Seck, qui a grandi sous l’ombre tutélaire du Pape du Sopi, et qui ne s’en est éloigné que pour des problèmes conjoncturels dont certains viennent de trouver des solutions, à travers le non lieu sur toutes les affaires dans lesquelles il était impliqué.
Cela suffira t’-il pour autant à conforter le choix du maire de Thiès, dans le cœur de tous ses frères de parti ?
Rien n’est moins sûr.
Tour à tour, directeur de cabinet, ministre, Premier Ministre, en même temps que Numéro Deux du Pds, si l’homme a pu se faire de nombreux amis sur lesquels il peut compter en toutes circonstances, s’il a rallié de nombreux suffrages dans son antre de Thiès qu’il a contribué à rebâtir et moderniser, il n’en demeure pas moins, qu’il s’est fait autant d’émules. Et même des adversaires politiques déclarés, qu’on retrouve dans les rangs de ceux qui lui reprochent de ne pas être jusqu’ici, blanc comme neige dans certaines affaires nébuleuses, si ce n’est le camp des nombreux frustrés qui ont eu à pâtir de ses « règnes » dans les différentes stations qu’il a eu à occuper. Auxquels, il faut ajouter, en dehors de l’aile dure de la génération du Concret (elle aussi en mutation) les déçus du parti Rewmi dont certains cadres ont toujours cette impression d’avoir été menés en bateau, à leur corps défendant.
Alors si, pour préparer 2012, des confidences font état, dans les prochains jours, d’une rencontre entre le Président Abdoulaye Wade et Idrissa Seck, afin de proposer à ce dernier une position politique prépondérante dans le grand parti présidentiel en "gestation" qui se veut une sœur sénégalaise de l’Union de la Majorité du Peuple française, il est permis de confesser que l’ accouchement ne se fera pas sans douleur, quelque soit la méthode. .
Mais là non plus, le choix n’est guère vaste. S’il faut vraiment réorganiser le Pds, il faudra un homme du sérail. Quelqu’un qui en connaît assez bien les rouages, et qui possède suffisamment d’autorité pour se faire obéir, malgré d’immanquables grincements de dents.
En d’autres termes un homme de la trempe de Idrissa Seck, qui a grandi sous l’ombre tutélaire du Pape du Sopi, et qui ne s’en est éloigné que pour des problèmes conjoncturels dont certains viennent de trouver des solutions, à travers le non lieu sur toutes les affaires dans lesquelles il était impliqué.
Cela suffira t’-il pour autant à conforter le choix du maire de Thiès, dans le cœur de tous ses frères de parti ?
Rien n’est moins sûr.
Tour à tour, directeur de cabinet, ministre, Premier Ministre, en même temps que Numéro Deux du Pds, si l’homme a pu se faire de nombreux amis sur lesquels il peut compter en toutes circonstances, s’il a rallié de nombreux suffrages dans son antre de Thiès qu’il a contribué à rebâtir et moderniser, il n’en demeure pas moins, qu’il s’est fait autant d’émules. Et même des adversaires politiques déclarés, qu’on retrouve dans les rangs de ceux qui lui reprochent de ne pas être jusqu’ici, blanc comme neige dans certaines affaires nébuleuses, si ce n’est le camp des nombreux frustrés qui ont eu à pâtir de ses « règnes » dans les différentes stations qu’il a eu à occuper. Auxquels, il faut ajouter, en dehors de l’aile dure de la génération du Concret (elle aussi en mutation) les déçus du parti Rewmi dont certains cadres ont toujours cette impression d’avoir été menés en bateau, à leur corps défendant.
Alors si, pour préparer 2012, des confidences font état, dans les prochains jours, d’une rencontre entre le Président Abdoulaye Wade et Idrissa Seck, afin de proposer à ce dernier une position politique prépondérante dans le grand parti présidentiel en "gestation" qui se veut une sœur sénégalaise de l’Union de la Majorité du Peuple française, il est permis de confesser que l’ accouchement ne se fera pas sans douleur, quelque soit la méthode. .