Main, sur le cœur et larme à l’œil, voilà ce que risque certaines personnes. « Le Nouvel an enregistre toujours de nouvelles grossesses », déclare Weuz, un jeune homme rencontré du côté du marché Zinc de Guédiawaye. Très prompt à la discussion, Weuz désapprouve la tendance des jeunes, « amis pour une nuits », et blâme « les jeunes qui font trop la fête et dépassent souvent les limites ». « Et certains, par accident, engrossent ou déviérgent leur copines. Ce qui n’est pas sans conséquence », averti Weuz.
Qu’à cela ne tienne ! Il ne s’agit que d’un moment de Béguë diront certains qui ont la certitude de passer une très bonne fête avec leurs copines. « Je suis sans copine pour l’instant. Mais je ne prendrai pas le risque de faire la fête seul, Confie ce jeune homme trouvé dans une boutique en train d’acheter du thé pour ses amis. Peu ravi content de sa solitude qu’il juge temporaire, il revient à la charge : « J’ai des amis. Mais ils ont tous un programme avec leur copine et je ne compte pas leur tenir compagnie ou les déranger le jour de la fête. 31 décembre, djiguène gni si goor gni ; goor gni si djiguène gni. »
En revanche, d’autres redoutent cette période car l’événement pousse trop à la dépense selon eux. « Je me suis disputé avec toutes mes copines parce que je n’ai pas d’argent pour les financer. Mais le jour de la fête, je voudrai forcément une copine en boite avec qui je pourrai passer le restant de la nuit », avance Alioune Diop, étudiant en gestion dans une école de la place.
Qu’à cela ne tienne ! Il ne s’agit que d’un moment de Béguë diront certains qui ont la certitude de passer une très bonne fête avec leurs copines. « Je suis sans copine pour l’instant. Mais je ne prendrai pas le risque de faire la fête seul, Confie ce jeune homme trouvé dans une boutique en train d’acheter du thé pour ses amis. Peu ravi content de sa solitude qu’il juge temporaire, il revient à la charge : « J’ai des amis. Mais ils ont tous un programme avec leur copine et je ne compte pas leur tenir compagnie ou les déranger le jour de la fête. 31 décembre, djiguène gni si goor gni ; goor gni si djiguène gni. »
En revanche, d’autres redoutent cette période car l’événement pousse trop à la dépense selon eux. « Je me suis disputé avec toutes mes copines parce que je n’ai pas d’argent pour les financer. Mais le jour de la fête, je voudrai forcément une copine en boite avec qui je pourrai passer le restant de la nuit », avance Alioune Diop, étudiant en gestion dans une école de la place.