On en sait davantage sur les corps découverts ces derniers jours au cimetière de Pikine. Du moins, d’après le journal L’Observateur, dans la nuit du jeudi 03 au 04 décembre, alors qu’ils avaient fini d’exhumer les corps pour procéder à des prélèvements, les profanateurs ont été surpris par l’arrivée inattendue d’un individu, dont le nom est soigneusement gardé secret. Cette arrivée inopinée a faussé les plan des profanateurs qui, gagnés par la panique, ont profité de l’obscurité pour dissimuler très rapidement deux corps (ceux d’une vielle dame et d’un bébé) dans les herbes, non loin d’une marre qui s’est formée au cimetière de Pikine, à la faveur de l’hivernage. Les deux autres corps qu’ils avaient également fini d’extraire de leur tombe située non loin de l’allée principale, ont, quant à eux, été trainé et abandonné non loin des caveaux. Selon l’Obs, l’objectif a toujours été, pour ces individus de profiter de la nuit pour exhumer les corps, sectionner une partie du linceul avant de les remettre dans les tombes. Il n’a jamais été question d’effectuer des prélèvements (d’un organe) sur les corps. Ils n’étaient intéressés que par les linceuls et l’enfouissement de gris-gris dans les tombes.
Qui du fossoyeur Saër Gningue ? D’après toujours l’Obs il a plus protégé les profanateurs qu’il a pris une part active dans le prélèvement des linceuls. Son rôle se serait limité à désigner aux individus les tombes récentes où le linceul est encore intact et assurer leurs arrières pendant qu’ils commettent leurs actes. C’est lui qui se charge de faire disparaitre les traces, en remettant les corps dans les tombes, une fois que les profanateurs aient terminé leur sale besogne.
Seulement dés l’éclatement de l’affaire, Saër Gningue a été perdu par son agitation inhabituelle, attirant du coup sur lui tous les regards, dont ceux des policiers habillés en civil. Voilà pourquoi, il a été cueilli. Devant les enquêteurs, il a craqué, reconnaissant avoir touché à trois des quatre corps. Un aspect également de l’enquête a porté sur les téléphones des deux fossoyeurs (Gningue et Niass) qui ont été saisis et placés sous scellé par les enquêteurs. L’analyse des relevés de communications des deux fossoyeurs devraient permettre d’identifier ceux que Saër tente de protéger en déclarant haut et fort qu’il préfère mourir que de donner des noms.
Qui du fossoyeur Saër Gningue ? D’après toujours l’Obs il a plus protégé les profanateurs qu’il a pris une part active dans le prélèvement des linceuls. Son rôle se serait limité à désigner aux individus les tombes récentes où le linceul est encore intact et assurer leurs arrières pendant qu’ils commettent leurs actes. C’est lui qui se charge de faire disparaitre les traces, en remettant les corps dans les tombes, une fois que les profanateurs aient terminé leur sale besogne.
Seulement dés l’éclatement de l’affaire, Saër Gningue a été perdu par son agitation inhabituelle, attirant du coup sur lui tous les regards, dont ceux des policiers habillés en civil. Voilà pourquoi, il a été cueilli. Devant les enquêteurs, il a craqué, reconnaissant avoir touché à trois des quatre corps. Un aspect également de l’enquête a porté sur les téléphones des deux fossoyeurs (Gningue et Niass) qui ont été saisis et placés sous scellé par les enquêteurs. L’analyse des relevés de communications des deux fossoyeurs devraient permettre d’identifier ceux que Saër tente de protéger en déclarant haut et fort qu’il préfère mourir que de donner des noms.