Parti aux Etats-Unis pour faire des études à l’âge de 15 ans, le destin en décidera autrement. En effet le jeune Nubian Mady va devenir artiste chanteur de reggae dance. Il a fait ses premiers pas dans la musique en 2000 avant d’entamer une carrière internationale.
Après 20 ans d’exil et la sortie de nombreux « mixtapes », Mady revient avec l’opus « Natural born warrior » (guerrier né naturel ), présentement disponible dans les bacs. Le choix du titre de l’album est clair selon Nubian qui se considère comme un guerrier à la conquête du monde pour affirmer son africanité. Et selon lui, pour réussir sur la scène musicale internationale, il faut être un homme ancré dans ses racines et ses valeurs culturelles. Parce que, dit-il, « la culture peut apporter le développement du Sénégal ». Et cet album international, composé de 12 titres et abordant différents thèmes sociaux, raconte la vie d’un guerrier parti à la conquête du monde. Ce projet ambitieux est fondé sur la conviction que la langue n’est pas une barrière pour la compréhension d’une chanson, mais que le plus important est l’accessibilité de la musique à tous. « Je ne chante pas pour les Sénégalais ou pour les Africains mais pour toute l’humanité avec une musique abordable », explique Nubian.
L’opus retrace aussi le parcours du jeune Sénégalais dans les titres comme « Life », « Mama smile ». Cette dernière est une chanson que l’artiste dédie à sa mère « Elle m’a donné 35.000 FCfa et un djembé pour que j’aille vivre le rêve américain ». Le titre « Allah » est la marque de sa spiritualité pour montrer au public que Nubian n’est pas un bad boy comme on le dit suite à son premier clip feat Fata et Nix, qui avait suscité des polémiques. « Ce tube a fait beaucoup de bruit, mais aussi il a été critiqué. Mais on est des musulmans comme tout le monde. On aime Allah, on accomplit les cinq prières quotidiennes », a-il soutenu. Et Nubian de renchérir : « Je ne bois pas d’alcool, je ne fume pas, je suis clean. Toutefois, je fais ce que je sens en tant qu’artiste ». C’est de cette manière à ses yeux, qu’un artiste se démarque des autres, en ne faisant pas ce que le public réclame toujours, mais ce qu’il sent.
Grand-Place
Après 20 ans d’exil et la sortie de nombreux « mixtapes », Mady revient avec l’opus « Natural born warrior » (guerrier né naturel ), présentement disponible dans les bacs. Le choix du titre de l’album est clair selon Nubian qui se considère comme un guerrier à la conquête du monde pour affirmer son africanité. Et selon lui, pour réussir sur la scène musicale internationale, il faut être un homme ancré dans ses racines et ses valeurs culturelles. Parce que, dit-il, « la culture peut apporter le développement du Sénégal ». Et cet album international, composé de 12 titres et abordant différents thèmes sociaux, raconte la vie d’un guerrier parti à la conquête du monde. Ce projet ambitieux est fondé sur la conviction que la langue n’est pas une barrière pour la compréhension d’une chanson, mais que le plus important est l’accessibilité de la musique à tous. « Je ne chante pas pour les Sénégalais ou pour les Africains mais pour toute l’humanité avec une musique abordable », explique Nubian.
L’opus retrace aussi le parcours du jeune Sénégalais dans les titres comme « Life », « Mama smile ». Cette dernière est une chanson que l’artiste dédie à sa mère « Elle m’a donné 35.000 FCfa et un djembé pour que j’aille vivre le rêve américain ». Le titre « Allah » est la marque de sa spiritualité pour montrer au public que Nubian n’est pas un bad boy comme on le dit suite à son premier clip feat Fata et Nix, qui avait suscité des polémiques. « Ce tube a fait beaucoup de bruit, mais aussi il a été critiqué. Mais on est des musulmans comme tout le monde. On aime Allah, on accomplit les cinq prières quotidiennes », a-il soutenu. Et Nubian de renchérir : « Je ne bois pas d’alcool, je ne fume pas, je suis clean. Toutefois, je fais ce que je sens en tant qu’artiste ». C’est de cette manière à ses yeux, qu’un artiste se démarque des autres, en ne faisant pas ce que le public réclame toujours, mais ce qu’il sent.
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