Souvent, on évoque les grandes puissances économiques mais ce qu’il faut savoir est que la différence entre ces grandes puissances économiques et le Sénégal, c’est cette forme de désamour qu’entretiennent les Sénégalais avec le monde du « formel » en général, et celui de l’industrie en particulier, tandis que ces grandes puissances économiques, elles, aiment le « formel », aiment l’idée d’entreprise en particulier.
Le constat est cinglant, mais cette réalité ne doit pas nous échapper à un moment où le Sénégal doit produire de la croissance et emplois qu’au travers d’une industrie appuyée, et tournée vers la sous région.
Nous devons avoir une vision tournée vers l’esprit d’entreprendre.
Soyons conscient qu’entreprendre c’est avoir un but, acquérir de nouvelles libertés, mener à bien un projet personnel, donc un levier pour la croissance.
L’industrie doit devenir la colonne vertébrale de notre économie, mais aussi le lien social qui unit l’individu à son entourage.
Mouhamed KOUDO
Responsable Politique / APR
Le constat est cinglant, mais cette réalité ne doit pas nous échapper à un moment où le Sénégal doit produire de la croissance et emplois qu’au travers d’une industrie appuyée, et tournée vers la sous région.
Nous devons avoir une vision tournée vers l’esprit d’entreprendre.
Soyons conscient qu’entreprendre c’est avoir un but, acquérir de nouvelles libertés, mener à bien un projet personnel, donc un levier pour la croissance.
L’industrie doit devenir la colonne vertébrale de notre économie, mais aussi le lien social qui unit l’individu à son entourage.
Mouhamed KOUDO
Responsable Politique / APR