M. Obama a défendu son bilan en matière de défense des droits des femmes devant 600 personnes qui avaient chacune payé au moins 250 dollars pour venir l'écouter, au profit notamment de sa campagne en vue de l'élection présidentielle du 6 novembre. L'événement était organisé par le "Women's Leadership Forum", un groupe issu du parti démocrate.
Le président a en particulier évoqué la réforme de l'assurance-maladie qu'il a promulguée en mars 2010, sans mentionner le fait que son existence est suspendue à un arrêt de la Cour suprême attendu en juin.
"Le changement, c'est la réforme que nous avons adoptée après un siècle de tentatives, qui donne enfin aux femmes davantage le pouvoir d'opérer leurs propres choix sur leur santé", a-t-il dit.
"Cette année, les femmes auront accès pour la première fois à des soins préventifs, comme une détection des violences conjugales, et à la contraception, sans coût supplémentaire", a-t-il fait valoir.
Cette disposition de la loi a provoqué une controverse quand les évêques catholiques américains ont protesté contre l'obligation faite à un employeur, même dépendant d'une organisation confessionnelle, de fournir une couverture contraceptive à ses employées. Des républicains se sont emparés de ce débat pour accuser M. Obama de mener une "guerre contre la religion".
"Cette bataille de la contraception a été une révélation. On aurait dit que l'on était dans une machine à remonter le temps", a ironisé le président. "Les républicains du Congrès sont allés jusqu'à dire qu'un employeur devrait pouvoir avoir son mot à dire sur les décisions de santé de ses employées. Et ça m'a toujours rendu perplexe".
"Voilà un parti qui dit fièrement être contre les régulations, de façon virulente. Ce sont des gens qui affirment croire dans la liberté vis-à-vis des ingérences gouvernementales. Mais on dirait que cela ne les dérange pas en ce qui concerne la santé des femmes", a-t-il ajouté.
Source:7sur7.be
Le président a en particulier évoqué la réforme de l'assurance-maladie qu'il a promulguée en mars 2010, sans mentionner le fait que son existence est suspendue à un arrêt de la Cour suprême attendu en juin.
"Le changement, c'est la réforme que nous avons adoptée après un siècle de tentatives, qui donne enfin aux femmes davantage le pouvoir d'opérer leurs propres choix sur leur santé", a-t-il dit.
"Cette année, les femmes auront accès pour la première fois à des soins préventifs, comme une détection des violences conjugales, et à la contraception, sans coût supplémentaire", a-t-il fait valoir.
Cette disposition de la loi a provoqué une controverse quand les évêques catholiques américains ont protesté contre l'obligation faite à un employeur, même dépendant d'une organisation confessionnelle, de fournir une couverture contraceptive à ses employées. Des républicains se sont emparés de ce débat pour accuser M. Obama de mener une "guerre contre la religion".
"Cette bataille de la contraception a été une révélation. On aurait dit que l'on était dans une machine à remonter le temps", a ironisé le président. "Les républicains du Congrès sont allés jusqu'à dire qu'un employeur devrait pouvoir avoir son mot à dire sur les décisions de santé de ses employées. Et ça m'a toujours rendu perplexe".
"Voilà un parti qui dit fièrement être contre les régulations, de façon virulente. Ce sont des gens qui affirment croire dans la liberté vis-à-vis des ingérences gouvernementales. Mais on dirait que cela ne les dérange pas en ce qui concerne la santé des femmes", a-t-il ajouté.
Source:7sur7.be