Plusieurs milliers de Bissau-Guinéens s'étaient cependant déplacés au cimetière musulman de la capitale.
Le gouvernement dirigé par Carlos Gomes Junior - actuellement au Portugal - n'était représenté que par les ministres du Commerce, Botché Candé, et de la Jeunesse, Baciro Dja.
Le gouvernement a accusé M. Dabo d'avoir participé à un complot visant à renverser le président intérimaire Raimundo Pereira et à assassiner le chef d'état-major, le capitaine de frégate José Zamora Induta, ainsi que le chef du gouvernement Carlos Gomes Junior.
Vendredi matin, l'ex-ministre de la Défense (2005-2007) Helder Proença, accusé d'avoir fomenté ce coup d'Etat, a également été tué par des militaires en même temps qu'un de ses gardes du corps et son chauffeur.
Appel à la communauté internationale
"La communauté internationale doit peser de tout son poids pour qu'il existe en Guinée-Bissau un état de droit, pour que soit mis un terme au cycle de violences", a déclaré à la presse le président de la Ligue bissau-guinéenne des droits de l'Homme, Luis Vaz Martins, présent à la cérémonie comme certains dirigeants de l'opposition.
Dans le cortège, on remarquait la présence de l'ancien président intérimaire Henrique Rosa (2003-2005), également candidat à la présidentielle (sans étiquette).
Proche de Joao Bernardo Vieira
M. Dabo était très proche du président Joao Bernardo Vieira assassiné il y a trois mois par des militaires, peu après l'attentat à la bombe qui avait coûté la vie au chef d'état-major des forces armées, le général Batista Tagmé Na Waie, le 1er mars.
M. Dabo avait longtemps été chargé de la sécurité personnelle du président Vieira pour le compte duquel il avait géré des réseaux de renseignements.
Ancien ministre de l'Intérieur dans le gouvernement d'Aristides Gomes (2005-2007), M. Dabo était membre du parti au pouvoir, l'ex-parti unique Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap Vert (PAIGC) mais avait décidé de se présenter en indépendant à la présidentielle.
Le gouvernement dirigé par Carlos Gomes Junior - actuellement au Portugal - n'était représenté que par les ministres du Commerce, Botché Candé, et de la Jeunesse, Baciro Dja.
Le gouvernement a accusé M. Dabo d'avoir participé à un complot visant à renverser le président intérimaire Raimundo Pereira et à assassiner le chef d'état-major, le capitaine de frégate José Zamora Induta, ainsi que le chef du gouvernement Carlos Gomes Junior.
Vendredi matin, l'ex-ministre de la Défense (2005-2007) Helder Proença, accusé d'avoir fomenté ce coup d'Etat, a également été tué par des militaires en même temps qu'un de ses gardes du corps et son chauffeur.
Appel à la communauté internationale
"La communauté internationale doit peser de tout son poids pour qu'il existe en Guinée-Bissau un état de droit, pour que soit mis un terme au cycle de violences", a déclaré à la presse le président de la Ligue bissau-guinéenne des droits de l'Homme, Luis Vaz Martins, présent à la cérémonie comme certains dirigeants de l'opposition.
Dans le cortège, on remarquait la présence de l'ancien président intérimaire Henrique Rosa (2003-2005), également candidat à la présidentielle (sans étiquette).
Proche de Joao Bernardo Vieira
M. Dabo était très proche du président Joao Bernardo Vieira assassiné il y a trois mois par des militaires, peu après l'attentat à la bombe qui avait coûté la vie au chef d'état-major des forces armées, le général Batista Tagmé Na Waie, le 1er mars.
M. Dabo avait longtemps été chargé de la sécurité personnelle du président Vieira pour le compte duquel il avait géré des réseaux de renseignements.
Ancien ministre de l'Intérieur dans le gouvernement d'Aristides Gomes (2005-2007), M. Dabo était membre du parti au pouvoir, l'ex-parti unique Parti africain pour l'indépendance de la Guinée et du Cap Vert (PAIGC) mais avait décidé de se présenter en indépendant à la présidentielle.