Le coordonnateur du Forum civil a été entendu hier par l’Office National de lutte contre la fraude et la corruption (Ofnac), dans le cadre du dossier relatif aux licences de pêche, notamment au sujet du rapport accablant de Greenpeace contre l’Etat du Sénégal, nous dit « L’As » qui livre l’info.
« Nous avons répondu à une convocation de l’Ofnac pour les besoins de l’enquête sur les licences de pêche et les suspicions de fraude dans le secteur», a informé Birahime Seck sur son compte Twitter. Le coordonnateur du Forum civil encourage à cet effet, les services de Seynabou Ndiaye Diakhaté à poursuivre les investigations pour tirer l’affaire au clair, afin de situer les principaux responsables.
D’ailleurs, Birahime Seck et ses camarades avaient formulé plusieurs recommandations au gouvernement et au GAIPES, pour améliorer la gestion des pêches. Parmi ces recommandations formulées à l’endroit du ministère des Pêches, rappelle-t-on, figure la publication de la liste des licences attribuées entre 2018-2019 et en 2020, renouvelées ou régularisées afin, disent-ils, de connaître les bénéficiaires effectifs et les catégories de pêcheries concernées.
Pour rappel, le rapport de Greenpeace Afrique intitulé «Mal de mer : pendant que l’Afrique de l’Ouest est confinée par la COVID-19, ses eaux restent ouvertes au pillage» , avait révélé que quatre licences ont bien été attribuées le 17 avril 2020, dont une à un navire chinois qui fait partie de la liste de 52 bateaux étrangers.
A cet effet, l’ONG internationale environnementale Greenpeace avait émis alors des doutes sur la transparence et la légalité du processus d’attribution des licences qui, selon elle, permettent aux navires étrangers de piller les ressources halieutiques sénégalaises, au détriment des pêcheurs artisanaux dont les licences sont gelées depuis 2012.
Des accusations qu’avait rejetées le ministère des Pêches et de l’Economie maritime du Sénégal, dans un communiqué de presse publié le 12 octobre 2020. Selon le document du ministère, les allégations contenues dans ledit rapport, sont totalement infondées et d’autant plus surprenantes qu’à plusieurs reprises, « le ministère des Pêches et de l’Economie maritime a toujours apporté des éclairages, des précisions et des démentis, à chaque fois que cela s’imposait, à l’endroit des acteurs, de l’opinion publique nationale et internationale», avaient précisé les services du ministère des Pêches et de l’Economie maritime du Sénégal.
« Nous avons répondu à une convocation de l’Ofnac pour les besoins de l’enquête sur les licences de pêche et les suspicions de fraude dans le secteur», a informé Birahime Seck sur son compte Twitter. Le coordonnateur du Forum civil encourage à cet effet, les services de Seynabou Ndiaye Diakhaté à poursuivre les investigations pour tirer l’affaire au clair, afin de situer les principaux responsables.
D’ailleurs, Birahime Seck et ses camarades avaient formulé plusieurs recommandations au gouvernement et au GAIPES, pour améliorer la gestion des pêches. Parmi ces recommandations formulées à l’endroit du ministère des Pêches, rappelle-t-on, figure la publication de la liste des licences attribuées entre 2018-2019 et en 2020, renouvelées ou régularisées afin, disent-ils, de connaître les bénéficiaires effectifs et les catégories de pêcheries concernées.
Pour rappel, le rapport de Greenpeace Afrique intitulé «Mal de mer : pendant que l’Afrique de l’Ouest est confinée par la COVID-19, ses eaux restent ouvertes au pillage» , avait révélé que quatre licences ont bien été attribuées le 17 avril 2020, dont une à un navire chinois qui fait partie de la liste de 52 bateaux étrangers.
A cet effet, l’ONG internationale environnementale Greenpeace avait émis alors des doutes sur la transparence et la légalité du processus d’attribution des licences qui, selon elle, permettent aux navires étrangers de piller les ressources halieutiques sénégalaises, au détriment des pêcheurs artisanaux dont les licences sont gelées depuis 2012.
Des accusations qu’avait rejetées le ministère des Pêches et de l’Economie maritime du Sénégal, dans un communiqué de presse publié le 12 octobre 2020. Selon le document du ministère, les allégations contenues dans ledit rapport, sont totalement infondées et d’autant plus surprenantes qu’à plusieurs reprises, « le ministère des Pêches et de l’Economie maritime a toujours apporté des éclairages, des précisions et des démentis, à chaque fois que cela s’imposait, à l’endroit des acteurs, de l’opinion publique nationale et internationale», avaient précisé les services du ministère des Pêches et de l’Economie maritime du Sénégal.