C’est à la barre des flagrants délits que cette affaire rocambolesque, mettant en cause un agent de l’administration pénitentiaire, a été jugé. Selon Le Populaire, le prévenu, Insa Sangaré, surveillant chef de poste, est attrait en justice pour répondre des délits d’offre et cession de chanvre indien et association de malfaiteurs.
Devant la barre, le garde pénitentiaire a nié en bloc les accusations portées à son encontre. Pour ce qui est des faits, il ressort du procès-verbal que le garde de prison avait remis un colis à un détenu du nom d’Amadou Diop alias Ndiol. Et le colis en question contenait deux paquets de sucre, deux sachets de lait en poudre et du café Touba, mais aussi deux kilos de chanvre indien. Après avoir été enregistré devant la porte, c’est au niveau de la censure que la drogue a été découverte.
Le ministère public, dans son réquisitoire, a estimé qu’Insa Sangaré est l’auteur des faits en déclarant qu’il y a beaucoup d’éléments qui montrent sa culpabilité. Un réquisitoire qui a alarmé le pool d’avocats du prévenu. Selon la défense, Insa a fait 12 ans de service dans l’administration pénitentiaire alors, s’il voulait faire passer de la drogue, il l’aurait fait sans l’intermédiaire de qui que ce soit. L’affaire est mise en délibéré jusqu’au 8 janvier.
Devant la barre, le garde pénitentiaire a nié en bloc les accusations portées à son encontre. Pour ce qui est des faits, il ressort du procès-verbal que le garde de prison avait remis un colis à un détenu du nom d’Amadou Diop alias Ndiol. Et le colis en question contenait deux paquets de sucre, deux sachets de lait en poudre et du café Touba, mais aussi deux kilos de chanvre indien. Après avoir été enregistré devant la porte, c’est au niveau de la censure que la drogue a été découverte.
Le ministère public, dans son réquisitoire, a estimé qu’Insa Sangaré est l’auteur des faits en déclarant qu’il y a beaucoup d’éléments qui montrent sa culpabilité. Un réquisitoire qui a alarmé le pool d’avocats du prévenu. Selon la défense, Insa a fait 12 ans de service dans l’administration pénitentiaire alors, s’il voulait faire passer de la drogue, il l’aurait fait sans l’intermédiaire de qui que ce soit. L’affaire est mise en délibéré jusqu’au 8 janvier.