Karim Wade, héros fantasmé et préfabriqué soumis au prêt-à-penser de Dame Justice qui l’a choisi et idéalisé comme galant prétendant dans sa traque sélective et goguenarde dite de « biens mal acquis », alors qu’elle peine dans sa valse à trois temps et trie minutieusement ses citoyens justiciables au tempo d’un yokkuté très au ralenti.
Karim, présenté sous les airs d’un détourneur de deniers publics bling bling dans un pays tenu en haut lieu par l’un des plus grands délinquants financiers du siècle, redoutable banquier doublé d’un blanchisseur d’argent hors pair de connivences avec d’anciens Présidents impliqués dans des crimes de guerre, des génocides et des crimes contre l’humanité, qui nous gouvernent depuis l’avènement de Macky Sall au pouvoir.
Karim, détenu dans la passion fougueuse de la traque des biens mal acquis, unique programme présumé du quinquennat de Macky Sall dont la violence de l’appétit du pouvoir et la vanité profonde n’ont d’égales que la profondeur des blessures narcissiques et d’un réservoir pulsionnel présidentiel encore mal élaboré et très mal contenu.
Karim, combleur de bosse politique morale et de faille narcissique de tous ces alliés baroudeurs de circonstance qui ont accroché leur vieux carrousel au galop de la jeunesse de Macky Sall, qui lui tiennent la main au nom de Benno Book Yakaar, et qui titubent tatillonnent et butent avec lui sur un semblant de projet de société pour ne rien nous proposer de concret.
Karim, décrié comme un sorcier blanc à égorger et à dépecer sous l’autel du sacrifice au nom d’une gouvernance « sobre et vertueuse » par notre tout nouveau et tout beau Président bien aimé et bien enrobé, qui enfle des chevilles depuis qu’il est élu et prend grossièrement de l’épaisseur dans ses nouveaux habits. Revanchard, rancunier et ronchonneur intraitable à souhait sur toute forme de critiques, Macky Sall l’est d’avantage lorsqu’il s’agit d’enrichissement illicite, du moment qu’il s’est lui-même déjà servi.
Karim, bouc émissaire d’un Président qui a décidé de faire de ses alliés d’occasion des fantassins d’un terrain politique périlleux, à la tête d’un jeune régime au pouvoir pourtant déjà à bout de souffle et qui vient de faire son propre aveu sur ses incompétences et son incapacité avérée à soulager la souffrance d’une population qui l’a plébiscité à 65%.
Karim Wade sur qui Macky Sall a injustement décidé de bâtir sa légende de prouesse et sa gloire politique.
Karim Wade. Et puis, quoi d’autre?
Karim que l’on veut humilier, anéantir et dont on veut se servir pour se venger doublement de Wade, du père par le fils et pour le fils, sait déjà que le reliquat de son patronyme s’allongera désormais par son ingrat statut de »fils de« , comble de tous ses malheurs présents et à venir, et qu’il paiera au prix fort le droit d’être né différent et d’avoir grandi ailleurs. Le droit d’être Sénégalais, le droit d’avoir des ambitions politiques tout court.
Karim par-ci, Karim par-là, et toujours rien, sinon des milliards astronomiques annoncés en grande pompe qui s’amenuisent! Pour un prisonnier politique de luxe inculpé pour délit d’enrichissement illicite à qui l’on prête des biens et des avoirs estimés à plus de 694 milliards de nos francs, logé, nourri et blanchi avec ses amis aux frais du contribuable Sénégalais, contre qui la machine judiciaire ne peut toujours rien prouver, Mimi Touré, colporteuse occasionnelle de chèques indûment remis, et ses hommes, commencent à frôler le ridicule.
Que tous les Sénégalais épris de justice, qui pensent que notre Justice ne doit pas être qu’un simple instrument politique et une affaire d’autorité, mais un pouvoir à part entière, que tous ceux qui se sont battus pour combattre l’ancien régime, qui sont encore libres et font encore notre fierté, et les observateurs doués de raison, observent la pédagogie du détour et de la démagogie que nous enseigne notre Justice sélective sous l’ère Macky, nous tous qui nous sommes tant battus pour la séparation effective des pouvoirs au Sénégal.
Karim Wade et Cheikh Diallo sont en prison alors que de vulgaires assassins se pavanent encore à l’hémicycle, et que la coalition présidentielle regroupe en son sein les plus grands détourneurs de deniers publics de ce pays, tous comptables abandonniques soit de la dernière gestion de l’ancien régime, soit des quarante années glorieuses du parti socialiste, au nom d’une union d’intérêt et d’un mariage de raison scellé sur le dos du Peuple sénégalais ironiquement dénommé Benno Book Yaakar. Leur Benno, source de tous les maux du Sénégal. Leur Yakaar, cause d’un grand désespoir national !
Que tous parcourent avec moi la grandeur du silence de Karim Wade et de Cheikh Diallo, une fontaine de grâce et de conduite exemplaire que nous pouvons tous savourer de deux citoyens traqués, l’un pour enrichissement illicite, l’autre pour complicité d’enrichissement illicite, comprenez bien, pour délit d’amitié.
Qui donc a donné à Macky Sall le souverain empire de commander et de commanditer notre justice, de la torpiller et d’en faire un support de ses carences personnelles ?
Madame Helene Della CHAUPIN
djiwoba@yahoo.fr
Karim, présenté sous les airs d’un détourneur de deniers publics bling bling dans un pays tenu en haut lieu par l’un des plus grands délinquants financiers du siècle, redoutable banquier doublé d’un blanchisseur d’argent hors pair de connivences avec d’anciens Présidents impliqués dans des crimes de guerre, des génocides et des crimes contre l’humanité, qui nous gouvernent depuis l’avènement de Macky Sall au pouvoir.
Karim, détenu dans la passion fougueuse de la traque des biens mal acquis, unique programme présumé du quinquennat de Macky Sall dont la violence de l’appétit du pouvoir et la vanité profonde n’ont d’égales que la profondeur des blessures narcissiques et d’un réservoir pulsionnel présidentiel encore mal élaboré et très mal contenu.
Karim, combleur de bosse politique morale et de faille narcissique de tous ces alliés baroudeurs de circonstance qui ont accroché leur vieux carrousel au galop de la jeunesse de Macky Sall, qui lui tiennent la main au nom de Benno Book Yakaar, et qui titubent tatillonnent et butent avec lui sur un semblant de projet de société pour ne rien nous proposer de concret.
Karim, décrié comme un sorcier blanc à égorger et à dépecer sous l’autel du sacrifice au nom d’une gouvernance « sobre et vertueuse » par notre tout nouveau et tout beau Président bien aimé et bien enrobé, qui enfle des chevilles depuis qu’il est élu et prend grossièrement de l’épaisseur dans ses nouveaux habits. Revanchard, rancunier et ronchonneur intraitable à souhait sur toute forme de critiques, Macky Sall l’est d’avantage lorsqu’il s’agit d’enrichissement illicite, du moment qu’il s’est lui-même déjà servi.
Karim, bouc émissaire d’un Président qui a décidé de faire de ses alliés d’occasion des fantassins d’un terrain politique périlleux, à la tête d’un jeune régime au pouvoir pourtant déjà à bout de souffle et qui vient de faire son propre aveu sur ses incompétences et son incapacité avérée à soulager la souffrance d’une population qui l’a plébiscité à 65%.
Karim Wade sur qui Macky Sall a injustement décidé de bâtir sa légende de prouesse et sa gloire politique.
Karim Wade. Et puis, quoi d’autre?
Karim que l’on veut humilier, anéantir et dont on veut se servir pour se venger doublement de Wade, du père par le fils et pour le fils, sait déjà que le reliquat de son patronyme s’allongera désormais par son ingrat statut de »fils de« , comble de tous ses malheurs présents et à venir, et qu’il paiera au prix fort le droit d’être né différent et d’avoir grandi ailleurs. Le droit d’être Sénégalais, le droit d’avoir des ambitions politiques tout court.
Karim par-ci, Karim par-là, et toujours rien, sinon des milliards astronomiques annoncés en grande pompe qui s’amenuisent! Pour un prisonnier politique de luxe inculpé pour délit d’enrichissement illicite à qui l’on prête des biens et des avoirs estimés à plus de 694 milliards de nos francs, logé, nourri et blanchi avec ses amis aux frais du contribuable Sénégalais, contre qui la machine judiciaire ne peut toujours rien prouver, Mimi Touré, colporteuse occasionnelle de chèques indûment remis, et ses hommes, commencent à frôler le ridicule.
Que tous les Sénégalais épris de justice, qui pensent que notre Justice ne doit pas être qu’un simple instrument politique et une affaire d’autorité, mais un pouvoir à part entière, que tous ceux qui se sont battus pour combattre l’ancien régime, qui sont encore libres et font encore notre fierté, et les observateurs doués de raison, observent la pédagogie du détour et de la démagogie que nous enseigne notre Justice sélective sous l’ère Macky, nous tous qui nous sommes tant battus pour la séparation effective des pouvoirs au Sénégal.
Karim Wade et Cheikh Diallo sont en prison alors que de vulgaires assassins se pavanent encore à l’hémicycle, et que la coalition présidentielle regroupe en son sein les plus grands détourneurs de deniers publics de ce pays, tous comptables abandonniques soit de la dernière gestion de l’ancien régime, soit des quarante années glorieuses du parti socialiste, au nom d’une union d’intérêt et d’un mariage de raison scellé sur le dos du Peuple sénégalais ironiquement dénommé Benno Book Yaakar. Leur Benno, source de tous les maux du Sénégal. Leur Yakaar, cause d’un grand désespoir national !
Que tous parcourent avec moi la grandeur du silence de Karim Wade et de Cheikh Diallo, une fontaine de grâce et de conduite exemplaire que nous pouvons tous savourer de deux citoyens traqués, l’un pour enrichissement illicite, l’autre pour complicité d’enrichissement illicite, comprenez bien, pour délit d’amitié.
Qui donc a donné à Macky Sall le souverain empire de commander et de commanditer notre justice, de la torpiller et d’en faire un support de ses carences personnelles ?
Madame Helene Della CHAUPIN
djiwoba@yahoo.fr