Lorsque l’acheteur, suivant en cela le procédé indiqué, a introduit le code de recharge de son crédit téléphonique, il a été crédité de mille (1000) Fcfa seulement. En lieu et place des 5000 fcfa auxquels il avait droit.
Ce qui pouvait apparaître comme un banal incident technique ou une mauvaise manipulation se révèlera une affaire d’une toute autre échelle. Sur conseil de l’opérateur saisi de l’incident au numéro de téléphone 1441, la fameuse carte a été présentée à l’agence de la Sonatel de Médina. Sur place, surprise : l’incident n’était pas isolé. En effet, un autre abonné de la Sonatel venait de s’y présenter, lui aussi, pour le même motif. L’introduction du code de sa carte achetée à 5000 Fcfa l’avait crédité d’une valeur financière de 1000 Fcfa. Ce monsieur avait acheté sa carte au quartier Rebeuss, à la rue Ambroise Mendy angle Dial Diop.
Quels sont l’importance et le volume de ces cartes frauduleuses en circulation ? Les prochains jours permettront d’y voir un peu plus, à partir de l’enquête que les services de la Sonatel ne manqueront certainement pas de prendre. S’agit-il d’une fraude isolée, le fait d’individus seulement motivés par le gain de l’argent ? Ou alors cette affaire serait-elle liée au combat actuel de la Sonatel contre la surtaxe sur les appels téléphoniques entrants, pour relever par exemple d’une opération de discréditation du premier opérateur téléphonique au Sénégal ? On y verra certainement plus clair d’ici peu.
Abou Abel THIAM
seninfos.com
Ce qui pouvait apparaître comme un banal incident technique ou une mauvaise manipulation se révèlera une affaire d’une toute autre échelle. Sur conseil de l’opérateur saisi de l’incident au numéro de téléphone 1441, la fameuse carte a été présentée à l’agence de la Sonatel de Médina. Sur place, surprise : l’incident n’était pas isolé. En effet, un autre abonné de la Sonatel venait de s’y présenter, lui aussi, pour le même motif. L’introduction du code de sa carte achetée à 5000 Fcfa l’avait crédité d’une valeur financière de 1000 Fcfa. Ce monsieur avait acheté sa carte au quartier Rebeuss, à la rue Ambroise Mendy angle Dial Diop.
Quels sont l’importance et le volume de ces cartes frauduleuses en circulation ? Les prochains jours permettront d’y voir un peu plus, à partir de l’enquête que les services de la Sonatel ne manqueront certainement pas de prendre. S’agit-il d’une fraude isolée, le fait d’individus seulement motivés par le gain de l’argent ? Ou alors cette affaire serait-elle liée au combat actuel de la Sonatel contre la surtaxe sur les appels téléphoniques entrants, pour relever par exemple d’une opération de discréditation du premier opérateur téléphonique au Sénégal ? On y verra certainement plus clair d’ici peu.
Abou Abel THIAM
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