L’agence Moody’s avait mis sous surveillance, en juin dernier, les notes du Sénégal et de la Côte d’Ivoire, après leur adhésion à l’Initiative de suspension du service de la dette lancée par les pays du G20.
Depuis le début de la crise sanitaire, le Sénégal a engagé d’importantes dépenses dans le cadre du Plan de résilience économique et sociale (PRES) doté d’un budget de 1000 milliards de FCfa. Il vise à soutenir le secteur de la santé, les populations vulnérables, les Sénégalais vivant à l’étranger, la stabilité macroéconomique et financière, les entreprises pour le maintien des emplois, la sécurisation de l’approvisionnement régulier du pays en eau, électricité, carburant, médicaments et denrées alimentaires de première nécessité.
Ce plan a pu être financé grâce aux appuis de la communauté internationale, au recadrage budgétaire, aux dons et contributions des bonnes volontés et au recours aux instruments de financement disponibles sur le marché.
La persistance de la pandémie réduit la visibilité sur les perspectives économiques à moyen et long terme. Toutefois, la mise en œuvre du Plan de relance économique nationale (PREN) en cours d’élaboration par le Gouvernement, devrait renforcer les conditions de stabilité macroéconomique et de perspective d’une reprise économique porteuse de croissance qui positionnerait le Sénégal sur sa trajectoire d’avant la crise sanitaire.
Selon le communiqué, le Sénégal, qui est aujourd’hui considéré sur les marchés financiers sous-régional et international des capitaux comme émetteur étatique de référence, a toujours respecté ses engagements financiers auprès de ses créanciers
Depuis le début de la crise sanitaire, le Sénégal a engagé d’importantes dépenses dans le cadre du Plan de résilience économique et sociale (PRES) doté d’un budget de 1000 milliards de FCfa. Il vise à soutenir le secteur de la santé, les populations vulnérables, les Sénégalais vivant à l’étranger, la stabilité macroéconomique et financière, les entreprises pour le maintien des emplois, la sécurisation de l’approvisionnement régulier du pays en eau, électricité, carburant, médicaments et denrées alimentaires de première nécessité.
Ce plan a pu être financé grâce aux appuis de la communauté internationale, au recadrage budgétaire, aux dons et contributions des bonnes volontés et au recours aux instruments de financement disponibles sur le marché.
La persistance de la pandémie réduit la visibilité sur les perspectives économiques à moyen et long terme. Toutefois, la mise en œuvre du Plan de relance économique nationale (PREN) en cours d’élaboration par le Gouvernement, devrait renforcer les conditions de stabilité macroéconomique et de perspective d’une reprise économique porteuse de croissance qui positionnerait le Sénégal sur sa trajectoire d’avant la crise sanitaire.
Selon le communiqué, le Sénégal, qui est aujourd’hui considéré sur les marchés financiers sous-régional et international des capitaux comme émetteur étatique de référence, a toujours respecté ses engagements financiers auprès de ses créanciers