En fait, le nouveau découpage administratif prévoit d’amputer Sangalkam d’une partie de son périmètre en créant d’autres chefs-lieux de communauté rurale, notamment à Bambilor. Pour beaucoup d’observateurs, c’est parce que Sangalkam est contrôlé par le camp d’Idrissa Seck que le pouvoir libéral procède ainsi. Mais Omar Guèye, lui, n’entend pas se laisser faire. Aussi lance-t-il : « Nous n’accepterons jamais une deuxième délégation spéciale. Et je préviens Wade. S’il s’avise de signer un décret pour découper Sangalkam, je serais à la tête d’un grand mouvement national de révolution à la Libyenne, à l’Egyptienne, à la Tunisienne pour exiger son départ. »
D’ailleurs, il poursuit : « Je prendrais une initiative personnelle de lancer un appel à toutes les forces vives sociales et politiques et à la société civile et nous lui ferons quitter définitivement le palais de la République, de gré ou de force. J’en prend l’engagement solennel. » En fait, Omar Guèye parle d’une accumulation d’actes posés par Wade et qui ont fini de l’édifier sur les vraies intentions du régime libérale. Et de relater : « Le 4 mai 2008, Abdoulaye Wade nous a imposé une délégation spéciale sans aucune raison. Nous n’avons pipé mot bien que nous sachions que cette délégation spéciale a été installée de manière illégale. Mais on en a assez. Nous n’accepterons jamais une seconde délégation spéciale. »
Et Omar Guèye insiste sur sa ferme intention de mener son mandat jusqu’au bout, c’est-à-dire en 2014. « Wade ne m’a pas nommé. J’ai été élu par la population et c’est donc elle qui décidera de mon départ ou pas », a averti le Pcr de Sangalkam.
politicosn
D’ailleurs, il poursuit : « Je prendrais une initiative personnelle de lancer un appel à toutes les forces vives sociales et politiques et à la société civile et nous lui ferons quitter définitivement le palais de la République, de gré ou de force. J’en prend l’engagement solennel. » En fait, Omar Guèye parle d’une accumulation d’actes posés par Wade et qui ont fini de l’édifier sur les vraies intentions du régime libérale. Et de relater : « Le 4 mai 2008, Abdoulaye Wade nous a imposé une délégation spéciale sans aucune raison. Nous n’avons pipé mot bien que nous sachions que cette délégation spéciale a été installée de manière illégale. Mais on en a assez. Nous n’accepterons jamais une seconde délégation spéciale. »
Et Omar Guèye insiste sur sa ferme intention de mener son mandat jusqu’au bout, c’est-à-dire en 2014. « Wade ne m’a pas nommé. J’ai été élu par la population et c’est donc elle qui décidera de mon départ ou pas », a averti le Pcr de Sangalkam.
politicosn