Se disant «mal placé» pour se prononcer par rapport à la non-participation de ses collègues, il précise : «je veux juste dire que ce n'est pas tout le monde qui peut participer». Et le fait d'être choisi, il le justifie par le fruit de son travail. Parlant du Festival, il note : «en tant qu'artiste, je pense que c'est une chose formidable, c'est tout à l'honneur du Sénégal d'organiser un événement de cette envergure. On a gagné le défi de l'organisation. Le Festival doit être un point de départ d'une Afrique unie. Les Africains doivent unir leurs forces et ne pas se laisser malmener par les Occidentaux».
Venu visiter le lieu d'hébergement des festivaliers, l'artiste musicien Yoro Ndiaye s'est aussi estimé content de participer à la 3e édition du Festival mondial des arts nègres qui, selon lui, «va permettre à certains artistes de revoir leur niveau». Expliquant comment il a été choisi, il indique : «on m'a envoyé un mail pour que je leur envoie ma fiche technique. C'est comme ça que je me suis rapproché des autorités du Festival qui me l'ont confirmé». Ce qui, à l’en croire, «est la loi des choses ; tout le monde ne peut pas être contacté». Mieux, il martèle : «il y a de grands noms qui n'ont pas pris part à cet événement. C'est une chance pour moi d'y être invité. Et même si on m'avait appelé sans me donner un cachet, ça ne me dérangerait pas. Mais il y a des gens qui comptent sur moi financièrement».
L'auteur de «Xarit» n'a pas manqué de dresser un bilan du Festival. «Dans l'ensemble, le Festival est positif bien que quelques problèmes n'ont pas manqué», déclare-t-il. «Personnellement, il y a des artistes que je n'aurai jamais imaginé voir. Le Festival permettra aux jeunes artistes, surtout les instrumentistes, d’aller se ressourcer. Parce qu'il faut voir comment travaillent les autres aussi. On a certes des valeurs intarissables. Mais on ne met au-devant de la scène que la musique mbalax qui n'est pas une musique d'écoute parce que c'est trop rythmé, on doit s'ouvrir à d'autres genres de musiques», précise-t-il. Parce que, conclut l’artiste, «l'avenir de la musique se trouve dans la tradition».
Awa DABO (Stagiaire) le populaire
Venu visiter le lieu d'hébergement des festivaliers, l'artiste musicien Yoro Ndiaye s'est aussi estimé content de participer à la 3e édition du Festival mondial des arts nègres qui, selon lui, «va permettre à certains artistes de revoir leur niveau». Expliquant comment il a été choisi, il indique : «on m'a envoyé un mail pour que je leur envoie ma fiche technique. C'est comme ça que je me suis rapproché des autorités du Festival qui me l'ont confirmé». Ce qui, à l’en croire, «est la loi des choses ; tout le monde ne peut pas être contacté». Mieux, il martèle : «il y a de grands noms qui n'ont pas pris part à cet événement. C'est une chance pour moi d'y être invité. Et même si on m'avait appelé sans me donner un cachet, ça ne me dérangerait pas. Mais il y a des gens qui comptent sur moi financièrement».
L'auteur de «Xarit» n'a pas manqué de dresser un bilan du Festival. «Dans l'ensemble, le Festival est positif bien que quelques problèmes n'ont pas manqué», déclare-t-il. «Personnellement, il y a des artistes que je n'aurai jamais imaginé voir. Le Festival permettra aux jeunes artistes, surtout les instrumentistes, d’aller se ressourcer. Parce qu'il faut voir comment travaillent les autres aussi. On a certes des valeurs intarissables. Mais on ne met au-devant de la scène que la musique mbalax qui n'est pas une musique d'écoute parce que c'est trop rythmé, on doit s'ouvrir à d'autres genres de musiques», précise-t-il. Parce que, conclut l’artiste, «l'avenir de la musique se trouve dans la tradition».
Awa DABO (Stagiaire) le populaire