’’Je suis certaine qu’ils reviendront tous (…). Ils reviendront tous avant 2012, non seulement parce que nous ferons ce qu’il faut’’ pour cela, ‘’mais aussi et surtout parce que c’est de l’intérêt de ces anciens responsables’’ du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir), a notamment indiqué le maire de la commune de Yoff, un village traditionnel de la capitale.
’’Je savais que ça ne pouvait pas manquer d’arriver’’, a ajouté Oumou Khaïry Guèye Seck, interrogée sur les retrouvailles de la famille libérale, au cours d’une édition des ’’petits déjeuners’’ de l’APS dont elle était l’invitée.
Selon Mme Seck, par ailleurs ministre de l’Elevage dans l’actuel gouvernement, les responsables partis du PDS savent tous ce que leur apporte le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, secrétaire général national du parti au pouvoir et ce qu’il apporte au Sénégal.
’’C’est sûr qu’on se retrouvera, c’est une famille’’, a-t-elle insisté, non sans faire observer que les ruptures sont parfois nécessaires dans l’évolution de la trajectoire de certains responsables politiques.
En marge de la cérémonie de lancement de la deuxième phase du programme de renouvellement du parc de transport urbain, initiée récemment par la société Senbus Industries à Thiès, le président Wade a invité les cadres qui ont quitté le PDS à y retourner, afin de reconstituer la famille libérale.
’’Je fais appel à toute ma famille, à revenir à la maison familiale notamment Macky Sall, Me Alioune Badara Cissé et Jean Paul Dias’’, avait déclaré le chef de l’Etat, citant en exemple l’ancien Premier ministre Idrissa Seck dont il a salué le ’’retour définitif’’ au Parti démocratique sénégalais (PDS).
Réagissant à cette invite présidentielle, le leader du Bloc des centristes gaïndé (BCG) Jean-Paul Dias, présenté comme l’aîné de la famille libérale, a déclaré dimanche que ’’les choses bougent’’ pour les retrouvailles de cette famille politique.
’’Depuis cet appel, il y a des choses qui bougent, il y a effectivement des frémissements. Les choses bougent légèrement’’, a noté le leader du BCG, assurant cependant qu’il ne compte pas donner suite à l’invite présidentielle si l’intérêt du Sénégal n’est pas pris en compte par cette initiative.
Pour sa part, l’ancien Premier ministre, Macky Sall qui dirige l’Alliance pour la République (APR) a indiqué qu’il reste dans l’opposition.
’’Je savais que ça ne pouvait pas manquer d’arriver’’, a ajouté Oumou Khaïry Guèye Seck, interrogée sur les retrouvailles de la famille libérale, au cours d’une édition des ’’petits déjeuners’’ de l’APS dont elle était l’invitée.
Selon Mme Seck, par ailleurs ministre de l’Elevage dans l’actuel gouvernement, les responsables partis du PDS savent tous ce que leur apporte le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade, secrétaire général national du parti au pouvoir et ce qu’il apporte au Sénégal.
’’C’est sûr qu’on se retrouvera, c’est une famille’’, a-t-elle insisté, non sans faire observer que les ruptures sont parfois nécessaires dans l’évolution de la trajectoire de certains responsables politiques.
En marge de la cérémonie de lancement de la deuxième phase du programme de renouvellement du parc de transport urbain, initiée récemment par la société Senbus Industries à Thiès, le président Wade a invité les cadres qui ont quitté le PDS à y retourner, afin de reconstituer la famille libérale.
’’Je fais appel à toute ma famille, à revenir à la maison familiale notamment Macky Sall, Me Alioune Badara Cissé et Jean Paul Dias’’, avait déclaré le chef de l’Etat, citant en exemple l’ancien Premier ministre Idrissa Seck dont il a salué le ’’retour définitif’’ au Parti démocratique sénégalais (PDS).
Réagissant à cette invite présidentielle, le leader du Bloc des centristes gaïndé (BCG) Jean-Paul Dias, présenté comme l’aîné de la famille libérale, a déclaré dimanche que ’’les choses bougent’’ pour les retrouvailles de cette famille politique.
’’Depuis cet appel, il y a des choses qui bougent, il y a effectivement des frémissements. Les choses bougent légèrement’’, a noté le leader du BCG, assurant cependant qu’il ne compte pas donner suite à l’invite présidentielle si l’intérêt du Sénégal n’est pas pris en compte par cette initiative.
Pour sa part, l’ancien Premier ministre, Macky Sall qui dirige l’Alliance pour la République (APR) a indiqué qu’il reste dans l’opposition.