« Si la politique pénale est bien définie par le gouvernement, c’est aux magistrats qu’il revient de l’appliquer en toute indépendance, conformément à la Constitution.
Nous sommes conscients que la politique pénale est définie par le gouvernement, ce n’est pas nouveau. Mais il faut préciser que l’application de cette politique, relève uniquement des magistrats. Nous ne recevons d’instructions d’aucun autre pouvoir. La Constitution est claire à ce sujet, la justice ne doit pas céder aux pressions sociales ou politiques. Elle doit rester imperméable, quelle que soit l’origine de ces pressions.»
Conseil supérieur de la Magistrature
« L’Union des magistrats du Sénégal n'y voit aucun problème, tant que les juges conservent leurs libertés. Les magistrats ne reçoivent de consigne ni du président de la République ni du ministre de la Justice. »
Le président de l’UMS appelle les Sénégalais à faire preuve de patience : certains dossiers sont complexes et nécessitent des enquêtes approfondies. Il faut laisser à la justice le temps de faire son travail correctement.
Nous sommes conscients que la politique pénale est définie par le gouvernement, ce n’est pas nouveau. Mais il faut préciser que l’application de cette politique, relève uniquement des magistrats. Nous ne recevons d’instructions d’aucun autre pouvoir. La Constitution est claire à ce sujet, la justice ne doit pas céder aux pressions sociales ou politiques. Elle doit rester imperméable, quelle que soit l’origine de ces pressions.»
Conseil supérieur de la Magistrature
« L’Union des magistrats du Sénégal n'y voit aucun problème, tant que les juges conservent leurs libertés. Les magistrats ne reçoivent de consigne ni du président de la République ni du ministre de la Justice. »
Le président de l’UMS appelle les Sénégalais à faire preuve de patience : certains dossiers sont complexes et nécessitent des enquêtes approfondies. Il faut laisser à la justice le temps de faire son travail correctement.