Le Premier ministre, Ousmane Sonko, a assuré ses compatriotes réunis, lundi, au palais des Congrès de Nouakchott, de la détermination du gouvernement à mener les réformes nécessaires, en leur demandant en même temps, de faire preuve de discipline et d’organisation pour aider les pouvoirs publics à y arriver.
‘’Aucune résistance ne nous empêchera de faire ce que nous voulons comme changement pour le pays (…) Pour y arriver, il faut que nous ayons une vision et fassions preuve de discipline et d’organisation’’, a dit M. Sonko, aux centaines de Sénégalais rencontrés dans ce palais de la capitale mauritanienne.
Au Sénégal, ‘’il y a toujours une catégorie qui conteste ce que l’État décide de faire’’, a-t-il affirmé, assurant : ‘’Nous ne remettrons en cause aucun acquis démocratique, parce que nous avons opté pour la démocratie’’.
‘’Il y a des choix à faire. Voulons-nous faire du saupoudrage ou voulons-nous faire une révolution ?’’, a-t-il demandé aux ressortissants sénégalais, venus discuter avec lui des conditions dans lesquelles ils vivent en Mauritanie.
‘’Une révolution n’est pas à confondre avec une révolte’’, a précisé le Premier ministre.
La révolution va consister à faire des ‘’changements structurels’’, a-t-il dit. ‘’Cela commence par changer de comportements. Le changement, ce n’est pas facile. Nous avons des habitudes vieilles de soixante-quatre ans (depuis l’indépendance du pays). Les Sénégalais veulent le changement, mais ne veulent pas changer (…) C’est impossible", a-t-il ajouté.
‘’Nous allons nous y prendre avec méthode et méthodologie’’, a poursuivi Ousmane Sonko, estimant que les ‘’préoccupations électorales’’ ont souvent empêché les gouvernements de mener les réformes nécessaires au Sénégal.
‘’Nous voulons faire en sorte qu’aucun Sénégalais ne songe, dans dix, vingt ou trente ans, à s’expatrier en empruntant une pirogue’’, a-t-il promis.
Ousmane Sonko est arrivé dimanche soir à Nouakchott, pour une visite officielle de deux jours consacrée, à l’énergie, au transport, à la sécurité et à la migration.
Pour cette visite également dite d’amitié et de travail, il est accompagné de plusieurs ministres, dont Yassine Fall, chargée de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères et Jean Baptiste Tine, celui de l’Intérieur et de la Sécurité publique.
Birame Soulèye Diop, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Yankhoba Diémé, celui des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens et Fatou Diouf, la ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, y prennent part.
La délégation conduite par Ousmane Sonko, comprend aussi les Directeurs généraux de l’Agence nationale chargée de la promotion des investissements et des grands travaux, Bakary Séga Bathily et de la Société des pétroles du Sénégal, Alioune Guèye.
Aps
‘’Aucune résistance ne nous empêchera de faire ce que nous voulons comme changement pour le pays (…) Pour y arriver, il faut que nous ayons une vision et fassions preuve de discipline et d’organisation’’, a dit M. Sonko, aux centaines de Sénégalais rencontrés dans ce palais de la capitale mauritanienne.
Au Sénégal, ‘’il y a toujours une catégorie qui conteste ce que l’État décide de faire’’, a-t-il affirmé, assurant : ‘’Nous ne remettrons en cause aucun acquis démocratique, parce que nous avons opté pour la démocratie’’.
‘’Il y a des choix à faire. Voulons-nous faire du saupoudrage ou voulons-nous faire une révolution ?’’, a-t-il demandé aux ressortissants sénégalais, venus discuter avec lui des conditions dans lesquelles ils vivent en Mauritanie.
‘’Une révolution n’est pas à confondre avec une révolte’’, a précisé le Premier ministre.
La révolution va consister à faire des ‘’changements structurels’’, a-t-il dit. ‘’Cela commence par changer de comportements. Le changement, ce n’est pas facile. Nous avons des habitudes vieilles de soixante-quatre ans (depuis l’indépendance du pays). Les Sénégalais veulent le changement, mais ne veulent pas changer (…) C’est impossible", a-t-il ajouté.
‘’Nous allons nous y prendre avec méthode et méthodologie’’, a poursuivi Ousmane Sonko, estimant que les ‘’préoccupations électorales’’ ont souvent empêché les gouvernements de mener les réformes nécessaires au Sénégal.
‘’Nous voulons faire en sorte qu’aucun Sénégalais ne songe, dans dix, vingt ou trente ans, à s’expatrier en empruntant une pirogue’’, a-t-il promis.
Ousmane Sonko est arrivé dimanche soir à Nouakchott, pour une visite officielle de deux jours consacrée, à l’énergie, au transport, à la sécurité et à la migration.
Pour cette visite également dite d’amitié et de travail, il est accompagné de plusieurs ministres, dont Yassine Fall, chargée de l’Intégration africaine et des Affaires étrangères et Jean Baptiste Tine, celui de l’Intérieur et de la Sécurité publique.
Birame Soulèye Diop, le ministre de l’Énergie, du Pétrole et des Mines, Yankhoba Diémé, celui des Infrastructures, des Transports terrestres et aériens et Fatou Diouf, la ministre des Pêches, des Infrastructures maritimes et portuaires, y prennent part.
La délégation conduite par Ousmane Sonko, comprend aussi les Directeurs généraux de l’Agence nationale chargée de la promotion des investissements et des grands travaux, Bakary Séga Bathily et de la Société des pétroles du Sénégal, Alioune Guèye.
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