Un homme méprisable et un tailleur constitutionnel, voilà comment Ousmane Sonko définit le ministre de la Justice Ismaïla Madior Fall, qui a récemment déclaré qu’il ne pourrait pas y avoir un 23 juin bis, faisant référence au jour du vote sur le projet de loi sur le parrainage.
« Je ne répondrai pas au ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall, parce que j’ai beaucoup de mépris pour ce genre de monsieur, un tailleur constitutionnel qui change de position ou argument en fonction de la position. C’est ce genre de monsieur qui ont toujours mis la poudre dans ce pays. A chaque fois qu’il y a des problèmes dans ce pays, c’est le fait des juristes soi-disant constitutionnels ou une partie de la magistrature. Ce pays ne leur appartient et chacun rendra de ses responsabilités », a précisé M. Sonko sur les ondes de la RFM.
Poursuivant ses propos, le leader de PASTEF énonce que le combat du 23 était l’affaire du peuple. Et si ce peuple ne fait rien contre le vote du projet de loi sur le parrainage, lui aussi ne sera pas le martyr.
« Si le peuple ne veut pas agir, moi je le dis, je ne suis pas là pour jouer le martyr ou mourir. Le jour où on appellera, je serai là-bas. Mais si je me rends compte que le peuple ne veut pas suivre, je rentrerais chez moi et on laisse Macky Sall faire ce qu’il veut du pays avec le parrainage mais également l’article 57 qu’il veut modifier », assène Ousmane Sonko.
« Je ne répondrai pas au ministre de la Justice, Ismaïla Madior Fall, parce que j’ai beaucoup de mépris pour ce genre de monsieur, un tailleur constitutionnel qui change de position ou argument en fonction de la position. C’est ce genre de monsieur qui ont toujours mis la poudre dans ce pays. A chaque fois qu’il y a des problèmes dans ce pays, c’est le fait des juristes soi-disant constitutionnels ou une partie de la magistrature. Ce pays ne leur appartient et chacun rendra de ses responsabilités », a précisé M. Sonko sur les ondes de la RFM.
Poursuivant ses propos, le leader de PASTEF énonce que le combat du 23 était l’affaire du peuple. Et si ce peuple ne fait rien contre le vote du projet de loi sur le parrainage, lui aussi ne sera pas le martyr.
« Si le peuple ne veut pas agir, moi je le dis, je ne suis pas là pour jouer le martyr ou mourir. Le jour où on appellera, je serai là-bas. Mais si je me rends compte que le peuple ne veut pas suivre, je rentrerais chez moi et on laisse Macky Sall faire ce qu’il veut du pays avec le parrainage mais également l’article 57 qu’il veut modifier », assène Ousmane Sonko.