
Il souligne qu’«après l’arrivée de Macky Sall, on commence à entendre "na dem a dem a dem" (qu’il parte). Des mots qui ont été prononcés à l’endroit des anciens présidents Senghor, Abdou Diouf et à Abdoulaye Wade. Pour lui, cette expression du peuple s’explique par le fait qu’«il y a un problème de système et non d’homme en Africa…». «Ce qui fait mal c’est que tous ceux qui sont élus ne se préoccupent que d’eux et de leur camp. C’est le cas des députés, des ministres… c’est pourquoi ils ont tout : de belles voitures… et nous pensons que ce n‘est plus de la démocratie mais de la politocratie », a détaillé l’artiste, fustigeant que tout soit accaparé par la classe politique. C’est pourquoi, nous avons mis sur place "Jotna" pour changer le système et trouver d’autres voies », a dit Ouza,notant qu'il faut une politique de développement. Il reconnaît que ce sera difficile mais, ça sera possible. Il a demandé à la banlieue de diminuer la danse, la lutte, le football et de consacrer leurs efforts sur les études.
Ferloo
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