Selon des sources policières et de la gendarmerie locales comme l’a souligné la radio nationale, son bourreau n’est autre que son propre fils Boris Kemadjou Mabou, âgé de 19 ans.
C’est l’épouse de la victime qui a fait la découverte macabre, apprend-on. Après avoir entendu en vain le retour des champs de son époux, inquiète, elle décidera d’aller le chercher surtout que la veille, son fils lui promettait la mort s’il ne recevait pas sa quote-part sur les 200.000 Fcfa issus de la vente du cacao.
Le père aurait demandé à son fils d’attendre que la situation scolaire de ses jeunes frères soit résolue. Ce que Boris Kemadjou Mabou n’a pas voulu entendre, et c’est de là que commenceront les menaces, rapporte la Crtv-radio.
Armé d’un gourdin, l’adolescent va suivre son père le 12 septembre dernier dans la brousse, et va lui porter le coup fatal. Après son forfait, il a calmement regagné le domicile familial. C’est sa famille qui alertera les forces de l’ordre.
Malgré les nombreuses fouilles menées par la police et la famille, celui-ci restera malheureusement introuvable. Sa famille le présente comme un récalcitrant puisque avant son parricide, il avait volé trois sacs de cacao qu’il avait revendus par la suite dans l’un des marchés de la ville de Douala.
C’est l’épouse de la victime qui a fait la découverte macabre, apprend-on. Après avoir entendu en vain le retour des champs de son époux, inquiète, elle décidera d’aller le chercher surtout que la veille, son fils lui promettait la mort s’il ne recevait pas sa quote-part sur les 200.000 Fcfa issus de la vente du cacao.
Le père aurait demandé à son fils d’attendre que la situation scolaire de ses jeunes frères soit résolue. Ce que Boris Kemadjou Mabou n’a pas voulu entendre, et c’est de là que commenceront les menaces, rapporte la Crtv-radio.
Armé d’un gourdin, l’adolescent va suivre son père le 12 septembre dernier dans la brousse, et va lui porter le coup fatal. Après son forfait, il a calmement regagné le domicile familial. C’est sa famille qui alertera les forces de l’ordre.
Malgré les nombreuses fouilles menées par la police et la famille, celui-ci restera malheureusement introuvable. Sa famille le présente comme un récalcitrant puisque avant son parricide, il avait volé trois sacs de cacao qu’il avait revendus par la suite dans l’un des marchés de la ville de Douala.