"Depuis le mois de ramadan, la bouteille se faisait rare, mais là c'est le comble car elle est introuvable" se désole-t-elle. Au niveau du croisement Béthio, au quartier Fith Mith, même son de cloche pour ce vendeur qui affirme avoir des problèmes avec ses clients. "Des clients m'avaient confié leurs argents pour au moins 4 à 5 bouteilles. Des bouteilles payées à l'avance. Mais avec cette pénurie, difficile pour moi de les aider" renseigne Issa Diagne Diop. Mais ce qui en paient le prix fort, de sont les femmes qui sont dans l'obligation de préparer le repas de midi. Et très souvent, c'est la désolation. Dans aucune boutique de la place, la bouteille n'est introuvable. Pour Astou Faye, que faire sinon se débrouiller, ou envoyer les enfants aux Parcelles en chercher. Et souvent, ils reviennent les mains vides.
La seule alternatives reste le charbon. Mais avec cette hivernage, le charbon de bois est un peu mouillé par l'eau de la pluie. Et d'aucuns, expliquent que si cette pénurie perdure, les Guinéens n'hésiteront pas à augmenter le prix du Kilo ou le sac de charbon.
Par ailleurs, les vendeuses dans les gargotes ne savent plus à quel saint se vouer. Toutes souhaitent que la pénurie cesse et que le gaz puisse être disponible.
De Pikine à Guédiawaye, passant par Wakhinane entre autres, c'est le charbon qui est utilisé pour la cuisson.
Assane Thiam Leral.net
La seule alternatives reste le charbon. Mais avec cette hivernage, le charbon de bois est un peu mouillé par l'eau de la pluie. Et d'aucuns, expliquent que si cette pénurie perdure, les Guinéens n'hésiteront pas à augmenter le prix du Kilo ou le sac de charbon.
Par ailleurs, les vendeuses dans les gargotes ne savent plus à quel saint se vouer. Toutes souhaitent que la pénurie cesse et que le gaz puisse être disponible.
De Pikine à Guédiawaye, passant par Wakhinane entre autres, c'est le charbon qui est utilisé pour la cuisson.
Assane Thiam Leral.net