Ce fut difficile.Les populations de la banlieue, particulièrement dans certains quartiers, il est très difficile de trouver la baguette française. Et rare sont les boulangers qui fonctionnent pour servir les clients. Au quartier Fith Mith à Guédiawaye, des femmes et des pères de familles se sont plaints du comportement de certains boulangers. Pour cette personne sous couvert de l'anonymat, il est très difficile de trouver une miche de pain. "C'est vrai qu'il y a une hausse mais l'Etat devrait et doit trouver une solution en dialoguant avec les boulanger. Sinon, nous risquons d'en payer les pots cassés" dit-il. Même son de cloche pour cette dame, Ndeye Fall, rencontré au croisement Béthio. A l'en croire, depuis 7 heures, "je ne cesse de faire les cents pas. Des va et viens incessants entre la maison et la boulangerie. Et souvent, c'est la ronde dans le quartier à la recherche d'une miche de pain" explique-t-elle. Une seule personne à ouvert sa boulangerie et pour celà,il faut faire la queue comme tout le monde. Soit, l"'attente peut durer durant des heures.
A Wakhinane, même constat. Des familles ont eu recours au biscuits et autre pain au lait. "Ce qui coute un peu cher qui l'on préfère continuer sur la même lancée, avec du pain au lait" fait remarquer Pape Ndiaye. Mais, celles qui ont ressentie cette pénurie de pain, ce sont les femmes détentrices de gargotes, vendant au petit matin du "Nambé" (haricot) ou de la viande accompagnée avec de la sauce. Pour Ndack Marône et Cie, toutes des vendeuses, ce fut le comble car la boulangerie qui les ravitaillait en pain n'a pas ouvert. Problème. Des clients en colère, pas de recettes journalière.
Malgré tout, certaines familles se sont rabattues sur les biscuits et la bouillie de riz.
Recours au Tapa lapa, ou à la bouillie de riz
Le tapa lapa est son heure de gloire. Des gens ont failli se taper dessus pour en avoir. Difficile de prendre le petit déjeuner sans le pain. Et pour da'utres, c'est le recours au croissant. Mais seulement cela coute cher.
Assane Thiam Leral.net
A Wakhinane, même constat. Des familles ont eu recours au biscuits et autre pain au lait. "Ce qui coute un peu cher qui l'on préfère continuer sur la même lancée, avec du pain au lait" fait remarquer Pape Ndiaye. Mais, celles qui ont ressentie cette pénurie de pain, ce sont les femmes détentrices de gargotes, vendant au petit matin du "Nambé" (haricot) ou de la viande accompagnée avec de la sauce. Pour Ndack Marône et Cie, toutes des vendeuses, ce fut le comble car la boulangerie qui les ravitaillait en pain n'a pas ouvert. Problème. Des clients en colère, pas de recettes journalière.
Malgré tout, certaines familles se sont rabattues sur les biscuits et la bouillie de riz.
Recours au Tapa lapa, ou à la bouillie de riz
Le tapa lapa est son heure de gloire. Des gens ont failli se taper dessus pour en avoir. Difficile de prendre le petit déjeuner sans le pain. Et pour da'utres, c'est le recours au croissant. Mais seulement cela coute cher.
Assane Thiam Leral.net