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PERSPECTIVES MACROECONOMIQUES : Un taux de croissance du PIB de 4,4% prévu en 2012

La direction de la prévision et des études économiques (Dpee), dans son document intitulé : « Situation économique et financière en 2011 et perspectives en 2012 », table sur un taux de croissance du PIB réel de 4,4%. « En 2012, les perspectives macroéconomiques tablent sur un taux de croissance du PIB réel de 4,4% contre 4% en 2011 ; celui-ci devrait être tiré par le dynamisme des secteurs primaire (+4,3%), secondaire (+6,2%) et tertiaire (+4,4%), sous l’hypothèse notamment d’une amélioration de la fourniture d’électricité à la faveur du « Plan TAKKAL ».


Rédigé par leral.net le Mardi 13 Décembre 2011 à 02:45 | | 8 commentaire(s)|

PERSPECTIVES MACROECONOMIQUES : Un taux de croissance du PIB de 4,4% prévu en 2012
Par ailleurs, l’activité devrait tirer profit de la mise en œuvre du Document de Politique Economique et Sociale (DPES). L’investissement resterait vigoureux avec la poursuite des travaux de l’autoroute à péage et de l’Aéroport International Blaise Diagne, ainsi que de l’exécution des projets retenus dans le Millenium Challenge Account (MCA) », précise la Dpee.

D’après la direction de la prévision des études économiques, l’activité économique pourrait également bénéficier du regain de croissance attendue en 2012 au niveau de l’économie mondiale (+4,3% en 2012 contre 4,2% en 2011).
« L’inflation, mesurée par le déflateur du PIB, est projetée à 2,7% en 2012 contre une hausse de 3,3% attendue en 2011, sous l’hypothèse d’une légère détente sur les cours du baril du pétrole et des autres matières premières de base », note-on dans le document.


La Dpee estime qu’au cours de l’année 2011, la gestion budgétaire devrait être caractérisée par une bonne tenue des ressources budgétaires et une hausse soutenue des dépenses publiques dans un contexte de mise en œuvre du « Plan TAKKAL ».
« En effet, les ressources (recettes budgétaires et FSE) et les dépenses totales et prêts nets devraient progresser respectivement

de 12,9% et 17,6% en 2011, contre 18,8% en 2010, soit une progression de 0,5 point de pourcentage, reflétant l’amélioration de l’efficacité et de la modernisation des régies financières et l’élargissement de la base taxable. Elle reste ainsi supérieure au plancher communautaire fixé à 17%.

Globalement, le déficit public est attendu à 474,0 milliards (6,9% du PIB) en 2011 contre 333,7 milliards (5,2% du PIB) en 2010, du fait notamment des importantes dépenses prévues dans le secteur de l’électricité (PLAN TAKKAL) », souligne-t-on dans le document.

Massaër DIA

( Les News )


1.Posté par patisco le 13/12/2011 10:03 | Alerter
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Après maintes tentatives de mise en œuvre d’une politique économique pouvant lui assurer une croissance durable, le Sénégal a jeté son dévolu sur le modèle Threshold-21 (T-21). Il s’agit d’une trouvaille de l’Institut du Millenium de Washington, réputée pour ses capacités de prévision à long terme pouvant inspirer les travaux de modélisation macro-économiques au Sénégal.

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2.Posté par Mbour le 13/12/2011 10:05 | Alerter
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Dans la recherche d’une croissance durable et d’un développement économique et social, le Sénégal a mis en œuvre plusieurs stratégies. Son administration en charge de la politique économique a, durant ces vingt dernières années, élaboré différents modèles macro-économiques destinés à répondre aux préoccupations de prévisions à court et moyen terme. Ces modèles ont porté sur les principaux agrégats macro-économiques comme l’élaboration du budget, la définition et la mise en œuvre de la politique monétaire et financière et la détermination du volume et de la structure de l’investissement requis pour atteindre les objectifs de croissance économique définis dans le plan de développement économique et social.

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3.Posté par ndiaganiao le 13/12/2011 10:07 | Alerter
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Des politiques qui, hélas, n’ont pas toujours répondu aux attentes des décideurs. Leurs résultats ont été jugés mitigés si l’on sait que les modèles macroéconomiques utilisés jusque là dans l’Administration sénégalaise ne renseignent pas suffisamment sur les impacts économiques et sociaux de ces différentes politiques mises en œuvre. Une situation qui exige des décideurs des instruments fiables et plus adaptés pouvant améliorer le dispositif d’analyse macroéconomique.

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4.Posté par Sandiara le 13/12/2011 10:10 | Alerter
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Articulé autour de trois axes stratégiques, le Document de politique économique et sociale (Dpes), que le Sénégal compte valider d’ici la fin du mois de septembre, escompte mobiliser 5,4 mille milliards de francs Cfa pour porter le taux de croissance du pays à 6,5% en 2015 et contribuer à l’atteinte des Omd.

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5.Posté par Thiadiaye le 13/12/2011 10:17 | Alerter
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C’est pas moins de 5,4 mille milliards de francs Cfa que le gouvernement compte mobiliser dans le cadre du Document de politique économique et social (Dpes) sur la période 2011-2015 pour doper la croissance économique du pays et atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (Omd). C’est ce qu’a fait savoir samedi le Coordonnateur de l’Unité de suivi et de coordination des politiques économiques, Thierno Niane, lors d’un atelier de mise à niveau avec le Collectif des journaliste économique du Sénégal (Coges). Ce document, en cours d’élaboration, est basé sur une vision d’ensemble qui veut doter le pays d’’une économie émergente, portée par un secteur privé fort et dont les retombées sont réparties de manière solidaire, grâce à un contrôle citoyen effectif, garantissant un développement harmonieux et durable’.

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6.Posté par Fisel Mbadane le 13/12/2011 10:19 | Alerter
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Cet ambitieux projet vise à atteindre un taux de croissance économique soutenu et durable d’au moins 6,5 % à l’horizon 2015. Ce qui va passer par une capitalisation et une consolidation des acquis des Documents de stratégie de réduction de la pauvreté de première et deuxième génération (Dsrp I et II) et la mise en œuvre d’un plan d’action prioritaire élaboré à travers la création d’opportunités économiques et de richesses, l’accélération de l’accès aux services sociaux de base, la protection sociale et le développement durable ainsi que la bonne gouvernance et la promotion des droits humains.


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7.Posté par Fisel Mbadane le 13/12/2011 10:23 | Alerter
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l’adjoint du directeur de la coopération économique et financière précise que, dans le plan d’action prioritaire, l’action qui sera financée doit concourir à atteindre les Omd ou du Dpes, aider à l’atteinte du taux de croissance ou être bénéficiaire pour les populations. Il reconnaît, néanmoins, que l’énergie constitue une sur-priorité pour pouvoir atteindre les projections de croissance. ‘Les routes et l’Energie sont des secteurs à forte intensité de capital alors qu’un secteur comme l’Education en est un à forte intensité de capital humain. Pour faire une salle de classe, on a besoin de 6 millions de francs Cfa. On doit en faire 2 500 par an et cela va coûter 13 milliards. Mais pour faire un kilomètre de route bitumée neuve, il faut au minimum 350 millions de francs.


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8.Posté par Ouza 2012 le 13/12/2011 10:24 | Alerter
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Le programme d’investissement prioritaire dans le secteur des routes, c’est dans l’ordre de 200 milliards par an. De plus, dit-il, le budget de fonctionnement de l’éducation est de 376 milliards là où celui des routes est de 1,6 milliard de francs Cfa’, relativise Bâ pour démontrer que la part belle n’a pas été faite aux ministères que dirige le fils du président Wade.


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