Par ailleurs, l’activité devrait tirer profit de la mise en œuvre du Document de Politique Economique et Sociale (DPES). L’investissement resterait vigoureux avec la poursuite des travaux de l’autoroute à péage et de l’Aéroport International Blaise Diagne, ainsi que de l’exécution des projets retenus dans le Millenium Challenge Account (MCA) », précise la Dpee.
D’après la direction de la prévision des études économiques, l’activité économique pourrait également bénéficier du regain de croissance attendue en 2012 au niveau de l’économie mondiale (+4,3% en 2012 contre 4,2% en 2011).
« L’inflation, mesurée par le déflateur du PIB, est projetée à 2,7% en 2012 contre une hausse de 3,3% attendue en 2011, sous l’hypothèse d’une légère détente sur les cours du baril du pétrole et des autres matières premières de base », note-on dans le document.
La Dpee estime qu’au cours de l’année 2011, la gestion budgétaire devrait être caractérisée par une bonne tenue des ressources budgétaires et une hausse soutenue des dépenses publiques dans un contexte de mise en œuvre du « Plan TAKKAL ».
« En effet, les ressources (recettes budgétaires et FSE) et les dépenses totales et prêts nets devraient progresser respectivement
de 12,9% et 17,6% en 2011, contre 18,8% en 2010, soit une progression de 0,5 point de pourcentage, reflétant l’amélioration de l’efficacité et de la modernisation des régies financières et l’élargissement de la base taxable. Elle reste ainsi supérieure au plancher communautaire fixé à 17%.
Globalement, le déficit public est attendu à 474,0 milliards (6,9% du PIB) en 2011 contre 333,7 milliards (5,2% du PIB) en 2010, du fait notamment des importantes dépenses prévues dans le secteur de l’électricité (PLAN TAKKAL) », souligne-t-on dans le document.
Massaër DIA
D’après la direction de la prévision des études économiques, l’activité économique pourrait également bénéficier du regain de croissance attendue en 2012 au niveau de l’économie mondiale (+4,3% en 2012 contre 4,2% en 2011).
« L’inflation, mesurée par le déflateur du PIB, est projetée à 2,7% en 2012 contre une hausse de 3,3% attendue en 2011, sous l’hypothèse d’une légère détente sur les cours du baril du pétrole et des autres matières premières de base », note-on dans le document.
La Dpee estime qu’au cours de l’année 2011, la gestion budgétaire devrait être caractérisée par une bonne tenue des ressources budgétaires et une hausse soutenue des dépenses publiques dans un contexte de mise en œuvre du « Plan TAKKAL ».
« En effet, les ressources (recettes budgétaires et FSE) et les dépenses totales et prêts nets devraient progresser respectivement
de 12,9% et 17,6% en 2011, contre 18,8% en 2010, soit une progression de 0,5 point de pourcentage, reflétant l’amélioration de l’efficacité et de la modernisation des régies financières et l’élargissement de la base taxable. Elle reste ainsi supérieure au plancher communautaire fixé à 17%.
Globalement, le déficit public est attendu à 474,0 milliards (6,9% du PIB) en 2011 contre 333,7 milliards (5,2% du PIB) en 2010, du fait notamment des importantes dépenses prévues dans le secteur de l’électricité (PLAN TAKKAL) », souligne-t-on dans le document.
Massaër DIA