Les membres du Cadre unitaire des syndicats de l’enseignement (Cuse) semblent être plus que jamais préoccupés par la problématique des quotas sécuritaires. Selon les camarades de Mamadou Diouf, coordonnateur de ce regroupement syndical, qui s’exprimaient hier sur cette question : « cette année, le recrutement des vacataires a connu des dérives auxquelles il importe de mettre un terme ». « Nous ne pouvons pas nous élever contre le quota à l’élémentaire et accepter qu’il fasse son apparition sous une autre forme dans l’enseignement moyen secondaire » ont-ils martelé. Une situation dont Mamadou Diouf dit avoir trouver la source au niveau de la tutelle. Pour étayer ses propos, il dira que « des listes en provenance du ministère ont été imposées aux académies ». Toute chose qui ne favorise pas la qualité du système éducatif, a renseigné en outre M.Diouf.
Quant à Mamadou Diop Castro, membre du Cuse et par ailleurs secrétaire général de l’Union démocratique des enseignants du Sénégal (Uden), il a tenu à préciser que « les quotas sécuritaires ne font que boucher les vides au niveau national avec l’occupation des 60% de recrutement sur le plan local ».
Au cours de cette rencontre, les syndicalistes ont également précisé que deux mois après l’ouverture des classes, des signes de perturbations ont commencé à se dessiner. A les en croire, de nombreux établissements peinent encore à se remettre des conséquences des inondations. A cela, s’ajoutent toujours selon eux « le déficit criard en tables bancs, le retard accusé dans les constructions ainsi que la réhabilitation des classes ». Sans compter « le retard récurrent du paiement des salaires des corps émergents et le règlement de certaines indemnités liées aux examens de l’année passée… »
Face à cette situation, le Cuse a annoncé que « la mise en place d’un système et des mécanismes de concertation régulière pour assurer le suivi des accords et anticiper sur de nouvelles crises s’impose ». Plusieurs actions ont été menées pour une année scolaire 2009–2010 sans perturbations. Parmi celles-ci figurent les accords signés entre le gouvernement et les syndicats de l’enseignement le 23 septembre dernier. Tout comme l’organisation à Saly à la veille de l’ouverture des classes par le Comité national du dialogue social (Cnds) d’une rencontre regroupant les parents d’élèves, les organisations de la société civile le Gouvernement , les syndicalistes etc.
Quant à Mamadou Diop Castro, membre du Cuse et par ailleurs secrétaire général de l’Union démocratique des enseignants du Sénégal (Uden), il a tenu à préciser que « les quotas sécuritaires ne font que boucher les vides au niveau national avec l’occupation des 60% de recrutement sur le plan local ».
Au cours de cette rencontre, les syndicalistes ont également précisé que deux mois après l’ouverture des classes, des signes de perturbations ont commencé à se dessiner. A les en croire, de nombreux établissements peinent encore à se remettre des conséquences des inondations. A cela, s’ajoutent toujours selon eux « le déficit criard en tables bancs, le retard accusé dans les constructions ainsi que la réhabilitation des classes ». Sans compter « le retard récurrent du paiement des salaires des corps émergents et le règlement de certaines indemnités liées aux examens de l’année passée… »
Face à cette situation, le Cuse a annoncé que « la mise en place d’un système et des mécanismes de concertation régulière pour assurer le suivi des accords et anticiper sur de nouvelles crises s’impose ». Plusieurs actions ont été menées pour une année scolaire 2009–2010 sans perturbations. Parmi celles-ci figurent les accords signés entre le gouvernement et les syndicats de l’enseignement le 23 septembre dernier. Tout comme l’organisation à Saly à la veille de l’ouverture des classes par le Comité national du dialogue social (Cnds) d’une rencontre regroupant les parents d’élèves, les organisations de la société civile le Gouvernement , les syndicalistes etc.