Quand on passe la barre du million de disques vendus en France, c’est que la recette fonctionne bien : Nolwenn Leroy a bien compris qu’il fallait continuer dans la voie initiée par l’album Bretonne. Deux options s’offraient à la chanteuse : mettre une autre région à l’honneur et faire un tour de France de la chanson traditionnelle, ou s’immerger plus profondément dans la culture de cette grande région belle et mystérieuse qu’est la Bretagne.
Finalement, avec O filles de l’eau, Nolwenn quitte la terre ferme, Tri Martolod et La jument de Michao et plonge en eaux troubles retrouver les sirènes et esprits du fond des lacs bretons. Prévu pour le 26 novembre, le disque sera composé de chansons qui « nous plongent dans l’univers poétique et mystérieux de la mer », comme l’indique un communiqué de la chanteuse aux yeux bleu océan.
En voyant la pochette, on comprend immédiatement là où veut en venir Nolwenn Leroy : à moitié nue, une queue de poisson à la place des jambes, le regard perdu et posée dans l’eau agitée sous le ciel chargé de teintes cuivrées, la photo de couverture d’O filles de l’eau évoque plus celle d’un livre de contes et légendes que celle d’un CD. On s’attendrait presque à ce qu’elle fasse un câlin à Nessie.
Finalement, avec O filles de l’eau, Nolwenn quitte la terre ferme, Tri Martolod et La jument de Michao et plonge en eaux troubles retrouver les sirènes et esprits du fond des lacs bretons. Prévu pour le 26 novembre, le disque sera composé de chansons qui « nous plongent dans l’univers poétique et mystérieux de la mer », comme l’indique un communiqué de la chanteuse aux yeux bleu océan.
En voyant la pochette, on comprend immédiatement là où veut en venir Nolwenn Leroy : à moitié nue, une queue de poisson à la place des jambes, le regard perdu et posée dans l’eau agitée sous le ciel chargé de teintes cuivrées, la photo de couverture d’O filles de l’eau évoque plus celle d’un livre de contes et légendes que celle d’un CD. On s’attendrait presque à ce qu’elle fasse un câlin à Nessie.