« Dans sa livraison du jeudi 3 décembre 2009, le journal Walfadjri et d’autres journaux en ligne ont publié un récépissé de dépôt d’une plainte devant le Tribunal de grande instance de Paris, du mouvement Mla, représenté par son président Amadou Diaw, contre Maître Abdoulaye Wade, président de la république du Sénégal et d’autres chef d’Etat, pour détournement de fonds publics et acquisition illégale de biens immobiliers en France ».
Il ressort de l’analyse de ce document :
d’une part, l’absence d’articulation d’un fait précis à l’appui de l’action du plaignant.
d’autre part, « un appel à tous les africains, notamment à chaque sénégalais, pour l’aider à réunir les preuves » des faits, objet de sa plainte.
Ce double manquement traduit manifestement de la part de l’intéressé, une volonté de nuire. Aussi, le Procureur de la République près le Tribunal Régional Hors Classe de Dakar a requis l’ouverture d’une information judiciaire, confiée au Doyen des juges d’instruction.
La procédure initiée se fonde sur les dispositions de l’article 80 du code pénal sénégalais, qui prévoit et sanctionne les actes, manœuvres et propagande, de nature à compromettre la sécurité publique, occasionner des troubles politiques graves, enfreindre les lois du pays ou jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement ».
Il ressort de l’analyse de ce document :
d’une part, l’absence d’articulation d’un fait précis à l’appui de l’action du plaignant.
d’autre part, « un appel à tous les africains, notamment à chaque sénégalais, pour l’aider à réunir les preuves » des faits, objet de sa plainte.
Ce double manquement traduit manifestement de la part de l’intéressé, une volonté de nuire. Aussi, le Procureur de la République près le Tribunal Régional Hors Classe de Dakar a requis l’ouverture d’une information judiciaire, confiée au Doyen des juges d’instruction.
La procédure initiée se fonde sur les dispositions de l’article 80 du code pénal sénégalais, qui prévoit et sanctionne les actes, manœuvres et propagande, de nature à compromettre la sécurité publique, occasionner des troubles politiques graves, enfreindre les lois du pays ou jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement ».