Selon ses initiateurs, cette structure qui travaille discrètement depuis plusieurs mois, à fédérer une « forte communauté de ressortissants de la Commune de Ndioum et au sein de sa diaspora », s’appuie d’abord sur des cellules au niveau des quartiers. Une approche inclusive visant à capter toutes les forces vives du terroir, « éprises de changement et de rupture d’avec les vieilles pratiques politiques de gestion de la cité », confient-ils.
Pour ce faire, l'érection de cellules de base et de coordinations zonales, est mise à contribution. « Le rôle de la cellule conçue comme une interface auprès de la structure mère, est de travailler à la massification du mouvement à travers un responsable administratif chargé d’assister les potentiels électeurs pour leur inscription sur les listes électorales, avec un accent particulier consacré aux primo-votants et non-inscrits au fichier», ont-ils fait savoir.
En plus, un pôle chargé de la communication sera mis en place, à côté du secrétariat administratif, qui pilotera toutes les questions liées à l’état-civil et aux inscriptions sur les listes. Ceci, pour garantir une fluidité de l’information. C’est dire que cette Plateforme citoyenne qui ratisse large, jusque dans les moindres recoins du périmètre communal et dans les lieux de résidence des ressortissants de la ville de Ndioum, prépare activement les prochaines élections municipales prévues à la fin de l’année en cours ou en janvier 2022. Sous ce rapport, les cellules déjà actives se sont dotées de groupes WhatsApp, pour une meilleure efficacité opérationnelle.
Rude bataille en direction des Locales
Mobilisation et massification en direction de ces futures échéances électorales ? Tout porte à le croire, au regard de l’engouement à la base qu’a suscité la mise en place dudit mouvement, qui regroupe en son sein des organisations de jeunes, de femmes et des divers représentants de corps de métiers socioprofessionnels. Pourra-t-il rebattre les cartes sur l’échiquier politique local ? Attendons de voir, car l’équipe sortante, à qui l’on prête des ambitions de solliciter un nouveau mandat, n’est pas prête à céder facilement le fauteuil.
Pour ce faire, l'érection de cellules de base et de coordinations zonales, est mise à contribution. « Le rôle de la cellule conçue comme une interface auprès de la structure mère, est de travailler à la massification du mouvement à travers un responsable administratif chargé d’assister les potentiels électeurs pour leur inscription sur les listes électorales, avec un accent particulier consacré aux primo-votants et non-inscrits au fichier», ont-ils fait savoir.
En plus, un pôle chargé de la communication sera mis en place, à côté du secrétariat administratif, qui pilotera toutes les questions liées à l’état-civil et aux inscriptions sur les listes. Ceci, pour garantir une fluidité de l’information. C’est dire que cette Plateforme citoyenne qui ratisse large, jusque dans les moindres recoins du périmètre communal et dans les lieux de résidence des ressortissants de la ville de Ndioum, prépare activement les prochaines élections municipales prévues à la fin de l’année en cours ou en janvier 2022. Sous ce rapport, les cellules déjà actives se sont dotées de groupes WhatsApp, pour une meilleure efficacité opérationnelle.
Rude bataille en direction des Locales
Mobilisation et massification en direction de ces futures échéances électorales ? Tout porte à le croire, au regard de l’engouement à la base qu’a suscité la mise en place dudit mouvement, qui regroupe en son sein des organisations de jeunes, de femmes et des divers représentants de corps de métiers socioprofessionnels. Pourra-t-il rebattre les cartes sur l’échiquier politique local ? Attendons de voir, car l’équipe sortante, à qui l’on prête des ambitions de solliciter un nouveau mandat, n’est pas prête à céder facilement le fauteuil.