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POLITIQUE NATIONALE DE L’EMPLOI AU SENEGAL : Une nouvelle trouvaille pour lutter contre le chômage

Le Sénégal, à l’instar des autres pays du monde, est confronté, depuis quelques années, à une crise profonde du marché de l’emploi. C’est ainsi que la direction de l’Emploi, en concertation avec le Comité national du dialogue social (Cnds), a initié une rencontre hier, pour mettre sur pied une nouvelle politique de l’emploi au Sénégal.


Rédigé par leral.net le Mercredi 3 Mars 2010 à 11:52 | | 2 commentaire(s)|

POLITIQUE NATIONALE DE L’EMPLOI AU SENEGAL : Une nouvelle trouvaille pour lutter contre le chômage
Le marché de l’emploi est encore très restreint au Sénégal. En effet, 40% de la population active sont sans emploi. Le secteur informel capte près de 70% des travailleurs. Au total, il y aurait quelque 200 000 emplois recensés dans le secteur «formel», dans à peine plus de 1 000 entreprises. Autant dire que les offres ne courent pas les rues au Sénégal. C’est pourquoi, la direction de l’Emploi, en concertation avec le Comité national du dialogue social (Cnds), a initié, hier, un atelier de restitution du projet de la nouvelle politique nationale de l’emploi. Pour définir un nouveau cadre d’orientation et d’actions afin de mieux articuler la stratégie nationale de croissance et de réduction de la pauvreté.
Présidée par le directeur de Cabinet du ministre de l’Emploi et des Organisations professionnelles, cette rencontre va permettre, selon M. Nouhou Demba Diallo, de lancer un véritable chantier national de l’emploi, à travers une démarche structurée, en mettant en œuvre un ensemble de projets et programmes ayant pour finalité, l’atteinte du plein emploi. Même s’il reconnaît les difficultés de l’emploi au Sénégal, M. Diallo estime que le gouvernement doit prendre en charge cette problématique. En d’autres termes, repositionner l’Emploi au cœur du système étatique. Selon lui, la question de l’Emploi reste, encore aujourd’hui, une préoccupation centrale des pouvoirs publics au Sénégal. «En effet, depuis 2000, les autorités ont pris des mesures volontaristes de lutte contre le chômage et le sous-emploi», rappelle-t-il.
Ainsi, des structures de promotion de l’emploi ont été mises en place par l’Etat, dont l’Agence pour la promotion des grands travaux du chef de l’Etat (Apix), le Fonds national pour la promotion de la jeunesse (Fnpj), l’Agence nationale pour l’emploi des jeunes (Anej), etc. Ceci, dans l’optique d’améliorer l’environnement des affaires et d’accroître les opportunités d’accès à l’emploi pour un plus grand nombre.
Cependant, fait savoir le représentant du ministère de l’Emploi, leur impact a été fortement réduit par le rythme encore élevé de la croissance démographique, l’exode rural augmentant, de facto, les tensions sur le marché du travail. D’ailleurs, pour le président du Cnds, M. Youssoupha Wade, cette situation, déjà difficile, risque d’être aggravée par la crise financière et économique mondiale

Thiedo net


1.Posté par diallo le 09/03/2010 12:04 | Alerter
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cette politique je la juge bon mais aussi limiteé pourquoi limiteé car le chomage que vous lutté est tres élevé dans certaines région comme kolda ou la jeunesse redouble d'effors du jour au lendemain pour travailler mais rien presque pas de soutien a leur disposition donc je me demande reéllement quand aurons nous l'aide de l'etat.nous voulons travailler ; LA PROMESSE EST UNE DETTE.MERCI

2.Posté par lucon le 17/03/2010 21:40 | Alerter
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ETUDE CAUSTIQUE MAIS TRES PROCHE DE LA FUTURE REALITE DU SENEGAL
On ne fait plus rien au sénégal dans cette republique soit disant laique sans les HIMAMS. Il faut vite se rendre à l'évidence que tout est en place pour passer à une autre forme de gouvernement puisque au sénégal la démocratie ne fonctionnant pas le peuple n'étant pas assez mur pour comprendre la démocratie. Tous les ingrédients sont maintenant en place, la population n'étant plus éduquée suite aux grèves ilimitées des enseignants, le nationalisme est bien installé (sommes les plus beaux les plus intelligents ect...), la pauvreté créant aujourdh'ui un terrain des plus favorables, la corruption ayant atteint un niveau inégalé à ce jour, l'état pratiquement inexistant, un racisme bien développé envers tout et tout le monde; c'est le moment. Vive donc la future République Islamique du Sénégal, avec pour capitale Touba, car sans elle le Sénégal ne se développera pas car pour corriger chez les Sénégalais l’incivisme, l’indiscipline, l’arogance, la fierté spécifique, l’exploitation, la médiocrité dans la pratique de la religion qui les arrange, les pseudos marabouts exploiteurs d’enfants et de talibés, il faut absolument cette république islamique sénégalaise tant congratulée par tous les politiques se rendant régulièrement à touba pour préter alégence au dieu marabout. Le sénégalais a un handicap qui l’empêche de cultiver la perfection : Il bâcle tout, il excelle dans l’hypocrisie, l’indiscipline, c’est l’élite de la paresse ; il est ignorant de la ponctualité et de l’assiduité, borné, pas de développement personnel, il est fataliste, n’aime pas travailler, opportuniste, n’a pas d’esprit critique. La fierté et le ton arrogant et dédaigneux envers les autres faisant le reste de son comportement unique en Afrique. L’impunité et le manque d’exemple encombrent l’espace publique. Les mots ォ devoir,respect, humilité et réglementation サ sont absents du dictionnaire. La solution pour le Sénégal est la mise en place au plus vite d’une république islamique pure et dure façon Iran. Nous avons de bons politiques très religieux et pas laics du tout et de bons chefs religieux et ainsi Touba pourrait devenir rapidement la capitale du pays. Nous Sénégalais qui sommes très forts en tout et qui en fait ne réalisons rien pourrions enfin nous retrouver dans notre vraie culture arabo-musulmane importée et vénérée par la population et ainsi ne plus etre considérés comme esclaves par nos amis arabes. Vive la république islamique du Sénégal qui avec tous les croyants du pays va remettre de l’ordre dans l’état et supprimer les institutions inutiles telles la justice, l’éducation ect…La charia règlera tout !!! les dirigeants et les politiques en rèvent ils ne demandent que ça ils sont si souvent en visite à Touba alors pourquoi attendre, vive la RIS.

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