Dans ce cadre, les camarades du Pr Abdoulaye Batholy, demandent à leur Secrétaire Général de « prendre toutes les dispositions utiles pour rencontrer toutes les forces politiques et sociales, et toutes les personnalités indépendantes favorables à l’élaboration d’un projet politique alternatif à la gestion calamiteuse de ce régime de ruine nationale ».
Les « Jallarbistes » considèrent, qu’après la victoire aux élections du 22 mars 2009 et la restitution des conclusions des Assises nationales, le moment est venu pour les forces patriotiques de proposer aux Sénégalaises et aux Sénégalais une plate-forme politique et une équipe de gestion du pouvoir. Par ailleurs, concernant la « prétendue disponibilité au dialogue politique du Président de la République », le Sep de la Ld a rappelé que la « victoire de l’alternance en Mars 2000 a été le résultat d’un processus de dialogue politique qui avait permis au Sénégal malgré les tumultes de la vie politique de préserver sa stabilité ».
Cependant depuis son accession au pouvoir Abdoulaye Wade a rompu avec cette tradition en s’engageant dans une succession de coups d’Etat contre les institutions de la République (quinze révisions unilatérales de la Constitution, fichier électoral frauduleux, violations des libertés et droits des citoyens, gestion familiale du pouvoir etc), fait remarquer la Ld.
Pour le parti du Pr Bathily, le dialogue politique est nécessaire pour arrêter les dérives imprimées à la vie nationale par le Président de la République lui même. « Cependant ce dialogue ne saurait s’accommoder de ruses dont Abdoulaye Wade est coutumier. En tout état de cause la mise en œuvre des conclusions des Assises Nationales constitue une voie obligée.
Au regard de l’ampleur de la crise tout dialogue véritable doit dépasser le cadre étroit d’un face à face entre le pouvoir et l’opposition pour être élargi à tous les acteurs dans l’esprit des Assises Nationales. Le cadre, le contenu, les modalités et la suite à donner aux conclusions de ce dialogue devront être définis de manière claire et par consensus par toutes les parties prenantes en dehors de toutes manœuvres dilatoires et dans l’intérêt exclusif du peuple Sénégalais », précisent les « Jallarbistes ».
Les « Jallarbistes » considèrent, qu’après la victoire aux élections du 22 mars 2009 et la restitution des conclusions des Assises nationales, le moment est venu pour les forces patriotiques de proposer aux Sénégalaises et aux Sénégalais une plate-forme politique et une équipe de gestion du pouvoir. Par ailleurs, concernant la « prétendue disponibilité au dialogue politique du Président de la République », le Sep de la Ld a rappelé que la « victoire de l’alternance en Mars 2000 a été le résultat d’un processus de dialogue politique qui avait permis au Sénégal malgré les tumultes de la vie politique de préserver sa stabilité ».
Cependant depuis son accession au pouvoir Abdoulaye Wade a rompu avec cette tradition en s’engageant dans une succession de coups d’Etat contre les institutions de la République (quinze révisions unilatérales de la Constitution, fichier électoral frauduleux, violations des libertés et droits des citoyens, gestion familiale du pouvoir etc), fait remarquer la Ld.
Pour le parti du Pr Bathily, le dialogue politique est nécessaire pour arrêter les dérives imprimées à la vie nationale par le Président de la République lui même. « Cependant ce dialogue ne saurait s’accommoder de ruses dont Abdoulaye Wade est coutumier. En tout état de cause la mise en œuvre des conclusions des Assises Nationales constitue une voie obligée.
Au regard de l’ampleur de la crise tout dialogue véritable doit dépasser le cadre étroit d’un face à face entre le pouvoir et l’opposition pour être élargi à tous les acteurs dans l’esprit des Assises Nationales. Le cadre, le contenu, les modalités et la suite à donner aux conclusions de ce dialogue devront être définis de manière claire et par consensus par toutes les parties prenantes en dehors de toutes manœuvres dilatoires et dans l’intérêt exclusif du peuple Sénégalais », précisent les « Jallarbistes ».