Comme nous l’écrivions hier, Aïda Aïssatou Jacqueline Coulibaly Ndour, l’élue du cœur de l’auteur de « Salagne Salagne », a été convoquée, hier, devant le juge du Tribunal départemental de Dakar. En fait, c’est Aïda Coulibaly, elle-même, qui a introduit une requête devant le juge pour la garde de son enfant de 7 ans. Il s’agit de la fille qu’elle a eu avec le nommé Karim Alessandro Sow. L’enfant, du nom de Line Mélissa Sophie Sow Coulibaly, est née en 2002 en France, à Nice précisément. A l’époque, Aïda Coulibaly avait contracté avec son fiancé Karim A Sow une union libre, au pays de Sarkozy. Et apparemment, avec la naissance de leur enfant, chacun a voulu mettre son nom de famille dans le registre de naissance de la fille, qui s’est retrouvée avec un nom kilométrique.
Pour autant, c’est l’actuelle douce moitié de Youssou Ndour, qui avait la garde de l’enfant, à la fin de leur idylle. Ceci, après accord de son désormais ex-fiancé. Du coup, selon elle, elle assurait les frais scolaires, médicaux etc. Ainsi, en contrepartie, le Papa pouvait voir sa fille, quand cela lui chantait.
Seulement, Karim Sow qui a noué une autre relation avec une dame qui a deux enfants en charge et avec qui il vit en concubinage, veut récupérer sa fille, une semaine sur deux au minimum. Ce qui n’est pas du goût de la « Salagne Salagne » du Lead vocal du Super Etoile, qui a opposé un niet catégorique. Motif invoqué, cela ne va pas dans l’intérêt de l’enfant, qui doit vivre dans un environnement calme et non avec un Papa vivant avec une dame qui a des enfants issus d’un autre lien. Son équilibre mental et son épanouissement s’en ressentiraient. Et comme l’ex-fiancé s’est montré déterminé, Aïda Coulibaly a fait appel au juge, pour trancher. En clair, elle souhaite continuer à avoir la garde de la petite, avec la possibilité pour le père de la récupérer périodiquement.
Mieux, comme la douce moitié de Youssou Ndour ne cherche pas à se sucrer sur le dos de son ex-fiancé, elle réclame une contribution financière de Karim à l’entretien de la gamine. A son avis, cet argent pourrait être placé sur un livret d’épargne, pour que celle-ci puisse en bénéficier pleinement. Pour le moment, le juge du Tribunal départemental ne s’est pas encore prononcé. La décision sera rendue ultérieurement. Affaire à suivre.
Alassane DRAME l'asquotidien
Pour autant, c’est l’actuelle douce moitié de Youssou Ndour, qui avait la garde de l’enfant, à la fin de leur idylle. Ceci, après accord de son désormais ex-fiancé. Du coup, selon elle, elle assurait les frais scolaires, médicaux etc. Ainsi, en contrepartie, le Papa pouvait voir sa fille, quand cela lui chantait.
Seulement, Karim Sow qui a noué une autre relation avec une dame qui a deux enfants en charge et avec qui il vit en concubinage, veut récupérer sa fille, une semaine sur deux au minimum. Ce qui n’est pas du goût de la « Salagne Salagne » du Lead vocal du Super Etoile, qui a opposé un niet catégorique. Motif invoqué, cela ne va pas dans l’intérêt de l’enfant, qui doit vivre dans un environnement calme et non avec un Papa vivant avec une dame qui a des enfants issus d’un autre lien. Son équilibre mental et son épanouissement s’en ressentiraient. Et comme l’ex-fiancé s’est montré déterminé, Aïda Coulibaly a fait appel au juge, pour trancher. En clair, elle souhaite continuer à avoir la garde de la petite, avec la possibilité pour le père de la récupérer périodiquement.
Mieux, comme la douce moitié de Youssou Ndour ne cherche pas à se sucrer sur le dos de son ex-fiancé, elle réclame une contribution financière de Karim à l’entretien de la gamine. A son avis, cet argent pourrait être placé sur un livret d’épargne, pour que celle-ci puisse en bénéficier pleinement. Pour le moment, le juge du Tribunal départemental ne s’est pas encore prononcé. La décision sera rendue ultérieurement. Affaire à suivre.
Alassane DRAME l'asquotidien