
«Ramadan Mubarak à tous les musulmans du monde! Je souhaite l'union des coeurs et la paix dans le monde entier. En ce mois béni de Ramadan, je rends grâce à Allah Le Tout Puissant et son Prophète Muhamad Psl. Puisse Allah Le Tout Puissant nous pardonner nos pêchés et exaucer nos prières par la baraka du Prophète des prophètes Muhamad Salahou Ala Muhamad. Amîn.». C'est en ces termes que Viviane devenue Mame Diarra souhaite bon Ramadan à toute la communauté musulmane. Elle sort de ce fait un single titré : «Domi Bamba». Un hommage «à feu Serigne Saliou Mbacké et pour souhaiter un bon ramadan aux musulmans du monde entier et aux Sénégalais, en particulier». Viviane convie tout le monde à se souvenir de tous ceux qui ont quitté ce bas monde et qui resteront à jamais dans les mémoires. Par sa voix, elle rend hommage à Serigne Saliou, le dernier fils de Bamba. Ainsi, la vedette venue de Mbour reconnaît en Serigne Saliou, un Saint homme. C'est à lui qu'elle doit tout son succès, explique-t-elle dans le communiqué: «j'ai eu la chance de le croiser sur mon chemin et de bénéficier de sa baraka. Il m'a fait découvrir la religion de Muhamad Psl, m'a fait aimer Muhamad Psl, m'a
procuré les bienfaits de la religion musulmane, m'a appris la tolérance, la joie de vivre dans mon art et m'a renommé Mame Diarra». En prélude à sa nouvelle production dont la sortie reste encore inconnue, mais probablement entre la Korité et la Tabaski, ce single constitue pour l'artiste une façon de se solidariser au monde musulman, mais également de prier pour que les Sénégalais vivent de moins en moins ces difficultés qui les empêchent de dormir tous les jours. «C'est une chanson que j'ai chantée en pleurant. Durant une nuit entière, je me suis rappelé les images de ma rencontre avec le Saint homme. Son sourire me rassurait et me rangeait dans les délices du succès et de la délivrance. Et je me suis souvenue de tous ces enfants qui s'amusaient avec lui, ces enfants orphelins qui l'ont perdu à jamais, j'ai pensé à tous ces pauvres qu'il ne cessait d'aider».
Pour celle qui admet avoir redécouvert la vie grâce à Serigne Saliou, cette chanson n'est que plus qu'un hommage mais une prière et une signature particulière pour afficher son appartenance à la religion musulmane. Et c'est ce week-end que la vidéo a été tournée aux Almadie pour être diffusé sur le petit écran.
BACHIR NDIAYE SALL & H.F L'obs
procuré les bienfaits de la religion musulmane, m'a appris la tolérance, la joie de vivre dans mon art et m'a renommé Mame Diarra». En prélude à sa nouvelle production dont la sortie reste encore inconnue, mais probablement entre la Korité et la Tabaski, ce single constitue pour l'artiste une façon de se solidariser au monde musulman, mais également de prier pour que les Sénégalais vivent de moins en moins ces difficultés qui les empêchent de dormir tous les jours. «C'est une chanson que j'ai chantée en pleurant. Durant une nuit entière, je me suis rappelé les images de ma rencontre avec le Saint homme. Son sourire me rassurait et me rangeait dans les délices du succès et de la délivrance. Et je me suis souvenue de tous ces enfants qui s'amusaient avec lui, ces enfants orphelins qui l'ont perdu à jamais, j'ai pensé à tous ces pauvres qu'il ne cessait d'aider».
Pour celle qui admet avoir redécouvert la vie grâce à Serigne Saliou, cette chanson n'est que plus qu'un hommage mais une prière et une signature particulière pour afficher son appartenance à la religion musulmane. Et c'est ce week-end que la vidéo a été tournée aux Almadie pour être diffusé sur le petit écran.
BACHIR NDIAYE SALL & H.F L'obs